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), allait être connu en Nouvelle-Écosse sous le nom d’Am Bàrd MacGhillEathain (barde MacLean). Il fut probablement le dernier de ces bardes qui, traditionnellement, avaient pour fonction d’immortaliser dans
par Maria Monk. Le révérend John Jay Slocum, directement mis en cause par cette réfutation, s’empressa de publier, au nom de sa protégée, une
désir sincère... d’obtenir une place ». En fait, Fleury Deschambault incorpora un bataillon de milice sédentaire, connu sous le nom de 7e bataillon de la milice d’élite incorporée, dans
MOLSON, JOHN (connu aussi sous le nom de John Molson l’ancien), homme d’affaires, propriétaire foncier, officier de
. Dans les cours de justice, le procureur général Sewell intervient au nom de l’État pour nier l’existence légale de l’évêque catholique et des paroisses créées après la Conquête. En 1805, il négocie
 
. En janvier 1821, au nom de la « division de la nation micmaque qui habitait près du goulet d’Annapolis Royal », Andrew James Meuse présenta à la chambre d’Assemblée de la Nouvelle-Écosse une
 
funérailles de Brock. C’est à cette époque que Merritt, toujours commandant de nom, commença à laisser de plus en plus à son fils, William
menziesii), l’un des plus beaux arbres du Canada, et le sapin de Douglas (Pseudotsuga menziesii), l’un des plus grands arbres du pays, dont le nom vernaculaire provient de celui de David Douglas
. Ronald T. Stagg Le nom de Thomas Elmes Matthews apparaît sur les premières listes de loyalistes, mais non sur les autres
fortune par la création de deux maisons : une première à Glasgow, connue sous le nom de W. Robertson and Company, et une seconde à Montréal, désignée sous la raison sociale Hugh Robertson and
 
traitement fixe et avait abandonné le commerce. Son nom ne figure pas dans les listes de nominations publiées pour l’année 1849 par le bureau du gouverneur. Il avait dû rentrer en Angleterre, car on n’a pu
 
(Irlande du Nord), quatrième enfant de Joseph Marshall et d’une prénommée Mary (dont le nom de famille était peut-être Hagan) ; avant 1783, probablement en Géorgie, il épousa une prénommée Margaret, et
 
de 1806, Marguerite-Magdelaine, désormais connue sous le nom de Mme La Framboise, était avec lui à leur campement du lac Michigan quand un Indien pris de rage en le voyant agenouillé pour prier le
 
 janvier 1849 à Kingston, Haut-Canada. On ne connaît ni le nom des parents d’Anthony Manahan, ni le détail de son enfance, mais il est évident qu’il
 
la réserve indienne de Restigouche en provenance de la Nouvelle-Écosse. Son surnom, Tkobeitch, venait du mot micmac tgôpetj, qui signifie jumeau, et Malie, du nom de sa sœur jumelle Marie
 
seigneurie de Mitis, et inhumé à Côte-Sainte-Catherine (Outremont, Québec). Né dans une famille de marchands de Québec, Adam Lymburner Macnider reçut le nom
MACKENZIE, RODERICK (on trouve souvent son nom orthographié McKenzie, mais il signait Mackenzie
Montréal et à Québec sept députés chacun, ce que ce dernier rejeta carrément. Néanmoins, l’Acte constitutionnel de 1791 retint certaines des réformes que Lymburner avait réclamées au nom des comités
un temple plus vaste. La Methodist Chapel – tel était son nom – fut achevée en 1821. Sous la houlette de Lusher, les méthodistes collaborèrent, avec des membres d’autres dénominations, à
 
Indiens, connue à compter de 1850 sous le nom de Mohawk Institute. Malgré le scepticisme et l’hostilité des Indiens, il organisa des classes où l’on enseignait le filage et le tissage aux filles et la
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