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, dont la charte, obtenue en 1871, avait été remise en vigueur en 1881. Au nom du groupe dirigé par Stephen, il négocia un droit de passage afin que le chemin de fer canadien du Pacifique puisse construire
créés en 1856. Meilleur ne pardonna jamais à Chauveau de ne pas avoir mentionné son nom dans ce Rapport et il lui chercha une vaine querelle dans la Minerve en 1859, à propos d’une vague
acres ainsi qu’une maison en bois sur la rive sud du lac Simcoe, près de l’endroit où se trouve actuellement Jackson’s Point, et elle donna à cette propriété le nom d’Eildon Hall. De retour en Écosse au
 
Temple ; elle s’établit à Port-Royal ; plus tard, elle aurait émigré à Boston, laissant en Acadie Pierre et Charles, les seuls membres de la famille dont l’histoire a retenu les noms
 
-Dieu le 10 août 1774, à l’âge de 19 ans, Marie-Vénérande est admise à prononcer ses vœux sous le nom de Sainte-Claire le 25 février 1776. Cependant, la Révolution américaine ayant
et on peut lire des noms de lieux inuit, inscrits, présume-t-on, par Comer. Une autre indique des itinéraires suivis pour chasser le bœuf musqué. On sait que Meliki faisait aussi de la sculpture
documentation sur Mary Mellish, surtout en relation avec la bibliothèque commémorative fondée en son nom par son fils. On peut trouver des détails biographiques dans « Mary Mellish Archibald
permission de décorer avec ses élèves les murs de la vieille église St Gabriel Street, à Montréal. Parmi ses élèves figurent les noms de Napoléon Saint-Charles, de l’architecte N. Resther, et de
Français. Tous reçoivent de nouveaux noms inspirés de ceux de la famille royale ou de catholiques illustres. Membertou devient Henri. Sa femme et sa fille, dont on ignore les noms usuels, sont prénommées
 
 Salle prit solennellement possession de toute la « Louisianne » au nom du roi de France et planta une croix bénite par le père Membré. Fier de son succès, La Salle pria le récollet de se
, N.-É.) en 1650. D’Aulnay était de famille d’une très ancienne noblesse, originaire du Perche. Il doit son second nom à la seigneurie d’Aulnay, près de Loudun, que lui légua sa mère
menziesii), l’un des plus beaux arbres du Canada, et le sapin de Douglas (Pseudotsuga menziesii), l’un des plus grands arbres du pays, dont le nom vernaculaire provient de celui de David Douglas
 
naissance à un fils qui fut baptisé sous les noms d’Andrew Francis Mercer et qui, selon l’opinion générale, était le fils d’Andrew alors septuagénaire ; la femme accusa d’ailleurs ce dernier de l’avoir
dernier : « Je serai à tes côtés pour t’aider de mes faibles efforts et bénir ton nom avec notre frère Riel, sauvé de l’échafaud. » Plutôt que de risquer une guerre civile, Chapleau demeure à
 
. Noël Baillargeon Allaire, Dictionnaire et Tanguay, Répertoire ont retenu les noms de deux curés Mercier, mais
avril 1879.— Mail (Toronto), 10 janv. 1879, publié par la suite sous le nom de Toronto Daily Mail, 3, 20, 23 déc. 1886.— Toronto Daily Star, 22–23 août 1923.— F. H
 
française, en 1789, Merle entreprit ses études de théologie, apparemment avec l’intention d’entrer dans l’ordre des Cisterciens réformés de la stricte observance. Dans cet ordre, connu communément sous le nom
une fonderie à New Hamburg (c’était le nouveau nom de la localité) et une autre à Waterloo. Il avait anglicisé son nom, comme beaucoup de familles allemandes de la région à l’époque
 
exemple d’architecture Palladienne qui se puisse trouver au Canada ». Dès 1809, son nom figurait parmi les « personnes aptes [...] à dresser les plans et à établir le devis d’un édifice convenable
signature de Flora MacDonald (nom de sa grand-mère maternelle qu’elle utilisait souvent dans ses textes), elle écrivit un jour : « J’ai habité avec intérêt le corps de Mme Denison et, par moments, nos
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