2181 à 2200 (de 4149)
1...108  109  110  111  112  ...208
 
veuve allait offrir plus tard au Provincial Museum de la Nouvelle-Écosse. Il découvrit un fossile intéressant qui fut nommé Dictyonema Websteri en son honneur. Webster laissa également son nom
 nom de l’honorable Edward Whelan est toujours chéri du peuple. » L’auteur de cet article, J. H. Fletcher, devait rappeler en 1900 qu’élevé en libéral dans l’Île-du-Prince-Édouard, il
. Patrick James Whelan fut mis en apprentissage chez un tailleur à l’âge de 14 ans. Il vint au Canada vers 1865 et travailla pour un tailleur de la ville de Québec du nom de Vallin. Il s’inscrivit aussi parmi
d’agitateur politique. Son nom apparaît sur plusieurs pétitions rédigées par des petits commerçants de Halifax exigeant une réforme de l’administration municipale et de son régime fiscal, prétendument
, croit-on, un brevet d’officier dans l’artillerie ou le génie royal, car on le désigne souvent sous le nom de major Woolford. S’étant enrôlé durant sa jeunesse, il servit pendant les guerres napoléoniennes
Ellis*, important constructeur de navires, également originaire de la région de Bideford. L’entreprise avait beaucoup de comptes à recouvrer, et Yeo se chargea d’en percevoir un bon nombre au nom de
 
maria mais on ne connaît pas le nom de sa femme ; il eut une fille qui épousa John Macaulay*, conseiller législatif pour le Haut-Canada et la
raciale dans les écoles du Canada-Ouest. Dix ans plus tard, son nom figurait dans la liste des membres du conseil d’administration de l’Association for the Education and Elevation of the Coloured People of
 
s’altérer dès 1867, mais il était toujours en charge du fort Langley quand il mourut. Il fut enseveli près du fort, dans le vieux cimetière de la compagnie, et son nom est inscrit sur le cairn que le
fin à la co-association avec la Forsyth, Walker & Company et réorganisa la firme de Montréal sous le nom d’Anderson, Auldjo and Company. Les associés d’Anderson, Louis Auldjo, William Evans et
rendit en toute hâte à Prairie du Chien et il s’empara du fort qu’on baptisa McKay, du nom d’un vieux Nor’Wester, William McKay*, qui
communauté montréalaise, le conseil municipal donnait le nom d’Atwater à une rue du quartier Saint-Antoine, en 1871. Edwin Atwater avait épousé, le 23 mai 1833, Lucy Huntington Greene, de Vergennes
ses fils, Pierre, fut le premier à prendre le nom de Gaspé, en 1709. Par ses ancêtres tant maternels que paternels, Philippe Aubert de Gaspé appartenait aux plus illustres familles du pays, les Coulon
 
bataillon de la milice de Carleton en 1847, mais il fut cassé en 1850, son nom étant apparu sur le Manifeste annexionniste sans qu’il le sache. Il fut réintégré dans ses fonctions de major en 1856, promu
autres récompenses, il se vit décerner la médaille royale de la Royal Geographical Society dont il fut élu membre, le 8 février 1836. Peu à peu, la Thlew-ee-choh fut connue sous le nom de rivière Back
Société de numismatique et d’archéologie de Montréal, accordant une place importante à l’étude de l’archéologie. Dès 1872, la société fonde, sous le nom de Canadian antiquarian and numismatic journal
connue plus tard sous le nom d’école du Plateau. Enfin, il avait été l’un des fondateurs, en 1852, de l’Institut national, reconstitué plus tard sous le nom d’Institut canadien-français. Cette société, née
BECKET, JOHN C., imprimeur, né le 14 mai 1810 à Kilwinning, en Écosse ; marié, mais le nom de son épouse reste inconnu
cadeau à la reine Victoria, au nom du peuple américain, en décembre 1856. Dans sa retraite, Belcher se consacra à la rédaction d’ouvrages et à la
 
l’entreprise sous le nom de Rose-Belford Publishing Company. Mais, au cours de l’année, un nouveau changement se produisit : Alexander et Robert Belford se retirèrent à leur tour et formèrent avec James
2181 à 2200 (de 4149)
1...108  109  110  111  112  ...208