Titre original :  Acte portant la signature de Nicolas Gaspard Boucault

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BOUCAULT, NICOLAS-GASPARD, conseiller du roi, procureur du roi, lieutenant particulier de la Prévôté et lieutenant général de l’Amirauté, subdélégué de l’intendant, commerçant et seigneur, né en France vers 1689, fils de Nicolas-Gaspard Boucault, huissier commissaire au Châtelet de Paris, et de Françoise-Anne Devene, décédé en France en 1755 ou après cette date.

Ce n’est certainement pas avant l’automne 1719 que Boucault débarqua à Québec pour y commencer une carrière de fonctionnaire à laquelle il allait consacrer le reste de son existence. L’on ne sait rien de ses antécédents et l’on ignore notamment ce que furent ses occupations avant de venir dans la colonie, mais l’on peut au moins présumer qu’il reçut une formation juridique qui le prépara à remplir les diverses fonctions qu’on lui confia pendant son long séjour de 30 années au Canada.

Dès son arrivée, il entra au service de l’intendant Michel Bégon en qualité de secrétaire et conserva ce poste jusqu’au départ définitif de ce dernier pour la France, en octobre 1726. N’eût-il donné satisfaction, il n’aurait certes pas conservé l’emploi aussi longtemps ni obtenu par la suite les appuis nécessaires pour continuer à gravir les échelons de la carrière qui allait être la sienne. Il put ainsi acquérir, pendant ces premières années de son séjour, une expérience précieuse en prenant connaissance des diverses questions administratives et judiciaires que l’intendant devait régler. Les circonstances allaient lui donner l’occasion assez exceptionnelle de joindre à cette expérience une connaissance directe du pays et de ses habitants : en effet, du 4 février au 3 juin 1721, il visita toutes les paroisses des deux rives du Saint-Laurent pour procéder à une information de commodo et incommodo préparatoire à une redistribution des districts paroissiaux. Il accompagnait alors, en qualité de greffier, le procureur général Mathieu-Benoît Collet* qui était responsable de cette enquête et reçut, en récompense de ses services et en dédommagement de ses frais de voyage, une gratification de 300# seulement alors que Collet en obtenait 1200. Tous deux furent encore chargés de dresser de nouveaux procès-verbaux de commodo et incommodo pendant l’année 1725, à la suite de protestations de plusieurs curés et habitants insatisfaits de la première délimitation faite en septembre 1721.

Peu après le départ de Bégon, à l’automne 1726, Boucault, qui se trouvait sans emploi, décida de passer en France ; il y resta deux ans. C’est au cours de ce premier séjour dans la métropole qu’il se maria avec Marguerite Buirette. Décidé à revenir dans la colonie, il sollicita et obtint les deux postes laissés vacants par le départ de Jean-Baptiste-Julien Hamare* de La Borde : ceux de procureur du roi à la Prévôté et à l’Amirauté de Québec. Il fut nommé au premier, le 20 avril 1728 ; il obtint le second, le 18 mai suivant, sur présentation du comte de Toulouse. Muni de ses lettres de provision qui lui ouvraient une nouvelle carrière, il s’embarqua sur l’Éléphant en compagnie de sa femme et de Louis-Guillaume Verrier et arriva à Québec, dans la première quinzaine de septembre 1728. Le 2 octobre suivant, le Conseil supérieur ordonna l’information de vie et mœurs, et deux jours plus tard, sa réception à titre de procureur. À peine installé, Boucault faisait demander une augmentation de gages, par l’intermédiaire du gouverneur Charles de Beauharnois et de l’intendant par intérim François Clairambault* d’Aigremont qui écrivirent au ministre de la Marine Maurepas, le 6 novembre 1728, pour faire valoir que « ne jouissant que de trois cent livres de gages attachés à son office, et n’ayant aucune ressource en Canada, il ne luy seroit pas possible de s’y soutenir avec sa famille ». Le gouverneur et l’intendant par intérim ajoutaient même cette appréciation : « c’est un ancien sujet de ce pays qui a servy sous M. Bégon en qualité de secrétaire avec un grand désintéressement et dont on a toujours été content ».

Bien décidé à profiter de toutes les occasions de s’élever dans la carrière administrative, Boucault sollicita, en 1729, la charge de grand voyer, vacante par suite du décès de Pierre Robinau* de Bécancour ; mais se trouvant en compétition avec huit autres candidats, et privé de tout appui de la part du gouverneur et du nouveau commissaire ordonnateur Gilles Hocquart*, le poste lui échappa. C’est Jean-Eustache Lanoullier de Boisclerc qui fut nommé. En revanche, Hocquart le nommait, le 30 novembre 1729, son subdélégué à Québec pour juger tous les différends n’excédant pas 100ª « et pour en outre connaître de toutes autres contestations et affaires plus importantes qui luy seront par nous renvoyées ». Boucault semble avoir conservé son titre de subdélégué à Québec et exercé les fonctions judiciaires qui étaient rattachées à ce poste au moins jusqu’à la nomination de Jean-Victor Varin* de La Marre comme subdélégué, le 1er octobre 1736. Après 1731, Hocquart, devenu intendant en titre, lui confia également à quelques reprises le soin de procéder à l’information de certaines affaires criminelles.

Le décès de Jean-Baptiste Couillard* de Lespinay, en mars 1735, offrit à Boucault l’occasion d’un nouvel avancement. Les charges de lieutenant particulier de la Prévôté et de lieutenant-général de l’Amirauté devenaient. en effet vacantes. L’expérience acquise comme procureur auprès de ces deux sièges le désignait à la succession. Aussi Beauharnois et Hocquart le recommandèrent-ils, soulignant que le candidat « joint a beaucoup d’honneur et de probité toute la capacité qu’il faut pour remplir » les postes. Le roi le nomma lieutenant particulier de la Prévôté, le 27 mars 1736, et lieutenant-général de l’Amirauté, le 3 avril de la même année. Le Conseil supérieur ordonna l’information de vie et mœurs, le 13 août suivant, et reçut Boucault dans ses nouvelles fonctions, le 20. Boucault ne devait pas bénéficier de nouvelles promotions jusqu’à la fin de sa carrière. Comme son prédécesseur et comme son successeur, Guillaume Guillimin*, il cumula les deux charges, présidant l’audience à la Prévôté, surtout de 1740 à 1743, pendant les absences fréquentes du lieutenant-général Pierre André de Leigne pour cause de maladie.

À l’automne de 1747, Boucault s’embarqua pour la France, avec l’intention, semble-t-il, de ne plus revenir dans la colonie. Mais, une fois arrivé dans la métropole, il se ravisa et demanda un congé de deux ans, au terme duquel il démissionna comme lieutenant général de l’Amirauté, croyant que son frère, Gilbert, notaire, lui succéderait. L’intendant Bigot*, qui avait eu vent de l’affaire, déjoua les calculs en écrivant au ministre que le notaire n’était « propre [...] pour occuper aucune place de judicature ». Boucault rentra au Canada avant la fin de septembre 1749 et reprit l’exercice de ses seules fonctions à la Prévôté, qu’il garda jusqu’à ce qu’il quitte définitivement la colonie en 1754 et retourne en France. Dans une lettre qu’il écrivit de Saint-Germain-en-Laye, près de Paris, le 14 mars 1755, il ne s’intitule plus qu’ « ancien lieutenant particulier de la prévosté », ce qui nous laisse supposer qu’il ne conserva pas son poste jusqu’en 1757, comme on l’a affirmé, mais plutôt qu’il démissionna peu après son arrivée en France, bien que Guillimin, son successeur, ne fût nommé qu’en avril 1757.

En homme ambitieux qu’il était et ne pouvant se satisfaire de son modeste traitement de fonctionnaire, Boucault tenta, comme bien d’autres, de s’enrichir dans le commerce. En 1733, il forma une société avec François Foucault. Les deux associés firent l’acquisition de la goélette le Saint-Michel, qu’ils envoyèrent, le 27 mai de la même année, avec 17 hommes d’équipage, sous le commandement du capitaine Charles Chéron, à la découverte d’un lieu propice à la chasse au loup marin. L’expédition s’établit à l’île du Grand Saint-Modet au large de la côte du Labrador et ne revint qu’à la fin d’août 1734 avec un chargement qui, selon les associés, était loin de compenser leurs frais. Ils demandèrent néanmoins la concession du poste, qui leur fut accordée le 27 avril 1735, pour 9 ans, avec droit exclusif de faire la chasse au loup marin et la traite avec les Indiens. Dès le 12 mai suivant, les deux associés cédèrent à Chéron un tiers indivis de la concession, à charge de fournir également son tiers dans l’exploitation du poste. L’importance des expéditions, en 1735, 1736 et 1737, s’accrut chaque année de même que les profits.

Toutefois les concessionnaires voisins devaient leur susciter bien des ennuis. Avec François Martel de Brouague, accusé d’éloigner les animaux en chassant le loup marin au fusil, l’affaire fut réglée rapidement à l’avantage de Boucault et de Foucault. Il n’en alla pas de même dans la contestation que souleva contre eux Pierre Constantin, qui prétendit que le poste du Grand Saint-Modet était enclavé dans la concession qu’il avait reçue, le 31 mars 1716. Constantin, qui avait, mais en vain, formé opposition à la délivrance d’un titre de concession à Boucault et Foucault, porta immédiatement le différend à Versailles. Lettres, mémoires et requêtes se succédèrent pendant quatre ans. On fit enquête, on entendit des témoins, on dressa des cartes sans parvenir à départager avec précision les prétentions des parties. Constantin laissa entendre avec assez de vraisemblance que Hocquart était préjugé en faveur de Boucault ; le ministre Maurepas tendait plutôt à donner raison à Constantin. Le gouverneur et l’intendant proposèrent, le 18 avril 1738, un règlement provisoire que Boucault et Foucault rejetèrent, tout en réservant leurs droits, et ils abandonnèrent temporairement l’exploitation du poste à Constantin. Des arbitres furent désignés pour établir le montant de l’indemnité que Constantin devait verser. Finalement, incapables de fournir aucune nouvelle preuve susceptible de débouter Constantin, Boucault et Foucault renoncèrent définitivement à toutes leurs prétentions ; leur titre sur le Grand Saint-Modet fut déclaré nul et Constantin reconnu seul propriétaire du poste, par ordonnance du 28 septembre 1740, ce dont on se félicita au ministère. Entre-temps, pour les dédommager de la situation fâcheuse dans laquelle on les avait placés, Boucault et Foucault reçurent le 1er mai 1738, concession du lieu appelé Apetépy, sur la côte du Labrador, pour une période de 10 ans ; ce que le roi ratifia, le 26 avril 1741. Ils entreprirent aussitôt de l’exploiter mais ne purent conserver le poste au-delà du terme fixé, lequel passa, en 1750, à Jacques de Lafontaine de Belcour.

Le 30 septembre 1742, Boucault formait avec Pierre Angers une société de commerce « à moitié profit ou perte », pour une période de trois ans. Boucault fournissait un bateau, le Saint-Antoine, avec ses agrès et apparaux, ainsi que les marchandises, le tout évalué à plus de 9, 700#, tandis qu’Angers s’engageait à se rendre au Petit Degrat (île du Petit-de-Grat, N.-É.) pour y faire la traite. Mais, à la mi-juillet de l’année suivante, Boucault, inquiet de ne recevoir aucune nouvelle et craignant que son associé n’ait été victime de quelque accident, donna procuration à Philippe et André Carrerot de le représenter là-bas, pour éventuellement « réclamer tout ce qui [pouvait] appartenir à ladite société ». Mais le malheur que Boucault pressentait n’arriva que plus tard. La société, par l’intermédiaire d’Angers, semble avoir pris des engagements envers Bigot, alors commissaire ordonnateur de l’île Royale (île du Cap-Breton). C’est ainsi qu’elle aurait livré, en novembre 1744, plus de 6 000# de vivres pour secourir Louisbourg, île Royale ; en 1745, Angers conclut un marché dans lequel Bigot s’engagea à rembourser 5 000# au cas où le bateau la Marie, appartenant à la société, serait capturé par les Anglais. La prise de Louisbourg fut, pour Boucault, une terrible catastrophe : il y perdit trois bateaux coulés dans le port, son associé fut tué en défendant la place et il ne put toucher les comptes qu’Angers avait à lui rendre. Il estima avoir subi, dans l’aventure, une perte réelle de 25 000#. Bien plus, Bigot refusa de verser l’indemnité convenue de 5 000#, sous le prétexte plutôt fallacieux que le bateau n’avait pas été pris par l’ennemi, mais coulé dans le port. Privé d’une grande partie de sa fortune, Boucault résolut de passer en France, à la fin de 1747, pour tenter d’obtenir quelque dédommagement. Il adressa alors au ministre Maurepas deux longs mémoires où il racontait son infortune et plaidait fort habilement sa cause : « Après une pareille catastrophe, écrivait-il, la Loy quoy qu’écrite peut-elle etre suivie dans toutte la rigueur, En est-il quelqu’une si étroitement etablie, qu’elle ne souffre suivant les circonstances, quelqu’Interpretations, et quelque secours favorable, pour celuy qui s’y est soumis, surtout, lorsqu’il paroit qu’il n’y a eû de sa part, n’y mauvaise volonté, n’y aucune vue de l’Interests qui l’ont empeché d’exécuter ce a quoy il estoit obligé. »

Les entreprises commerciales de Boucault l’amenèrent bien souvent à faire régler ses différends en justice. Il ne se passa guère d’années qu’il ne plaide devant la prévôté ou le Conseil supérieur. Il parait également avoir, en diverses occasions, agi comme prêteur pour des sommes assez élevées, ce qui témoigne de la fortune qu’il avait accumulée. Il faut enfin mentionner que Boucault fut désigné, en 1728, comme fondé de procuration de la majeure partie des créanciers du frère Louis Turc de Castelveyre, dit frère Chrétien, qui avait contracté, en France, des dettes considérables pour sa communauté. Il représenta les intérêts de ces créanciers dans le long procès qui ne s’acheva qu’en avril 1735.

Boucault s’était fait concéder, le 15 avril 1723, par Charles Le Moyne*, premier baron de Longueuil, un arrière-fief situé sur le bord de la rivière Chambly et relevant de la seigneurie de Belœil. Quelque temps après le décès du baron, il prit soin de renouveler foi et hommage à son nouveau seigneur, le 20 février 1732, mais il ne fit lui-même aucune concession ; finalement, le 2 avril 1743, il céda sa terre à Pierre-Antoine de La Corne de La Colombière.

En 1733, Boucault s’était fait construire, rue Saint-Paul, à Québec, une luxueuse maison de pierre à trois étages sur un terrain qu’il avait acheté, le 18 octobre 1732. C’est là qu’il vécut jusqu’en 1747 avec sa femme, de 15 ans plus jeune que lui, et ses trois enfants. Au recensement de 1744, il avait à son service trois jeunes domestiques. Après les déboires qu’il connut dans ses affaires et avant de passer dans la métropole, il vendit le 3 août 1747 sa maison à Joseph-Pierre Cadet* pour 10 000#, dont 8 000 furent payées comptant.

En 1754, Boucault rentra définitivement en France, après avoir passé 30 années au pays, pendant lesquelles il s’était acquitté consciencieusement de toutes les fonctions administratives et judiciaires qu’on lui avait confiées. Honnête, compétent, il donna toujours satisfaction à ses supérieurs, qui le conservèrent pour de longues périodes dans les mêmes emplois tout en lui ménageant des promotions avantageuses. Il était aussi assurément ambitieux et chercha, dans des activités commerciales diverses, une source de revenus que ne pouvaient lui assurer ses traitements de fonctionnaire. Mais, parvenu à la fin de sa carrière, il voyait disparaître subitement la plus grande partie de son bien, plus par mauvaise fortune que par mauvaise gestion. Il sollicita d’abord une pension de retraite qu’on lui refusa « faute de fond à ce sujet ». Puis il demanda qu’on lui accorde la moitié du poste du, Gros Mécatina (région de la Côte Nord, Québec » que le gouverneur Duquesne* et l’intendant Bigot venaient de concéder à un négociant de Québec, Jean Taché, qui n’en avait toutefois pas encore obtenu la ratification royale. Cette requête s’étant sans doute heurtée à certaines réticences, Boucault voulut se montrer « plus modeste » en ne demandant que la 15e ou 20e barrique d’huile du produit du poste qui était censé rapporter, à ce qu’il dit lui-même, 20 000# par an de rente, tous frais faits. Il ne semble pas avoir été plus heureux dans cette dernière demande, puisque c’est à Hocquart que revint finalement le poste du Gros Mécatina, tandis que Taché dut se contenter de celui du Grand Saint-Modet, qui avait causé à Boucault tant d’ennuis.

Pendant les premiers mois qui suivirent son retour en France, tout en s’employant à obtenir quelque revenu qui pût lui assurer une retraite convenable, Boucault rédigea un long mémoire, accompagné de cartes, intitulé « Idée générale du Canada ». On y trouve essentiellement un état de la colonie qui témoigne, de la part de son auteur, d’une connaissance étendue du pays. La Nouvelle-France, depuis Terre-Neuve jusqu’aux pays d’en haut, fait l’objet d’une description détaillée, mais naturellement plus complète pour ce qui regarde le Canada proprement dit. Boucault décrit l’aspect général de chaque région, sa localisation et ses particularités géographiques, ses habitants, ses ressources, son administration tant civile qu’ecclésiastique, en y mêlant de nombreuses considérations historiques et quelques faits divers. Il met aussi beaucoup d’insistance sur le climat et ses conséquences sur le mode de vie des Canadiens, compare la flore et la faune canadiennes à celles de la France et brosse enfin un tableau de la production agricole et industrielle. Au total, il s’agit d’un mémoire bien documenté et fait d’observations fort justes et toujours très précises, fruit d’une longue expérience des lieux, mais qui déçoit par l’absence de vues critiques comme de toute proposition de réforme.

L’ouvrage était terminé à la fin de décembre 1754. Il le présenta alors à quelques personnages influents pour s’introduire auprès d’eux, cherchant à s’attirer leur faveur pour lui-même et leur protection pour deux de ses fils, dont l’un servait déjà depuis quatre ans comme aide de port à Brest sous les ordres de Hocquart et dont l’autre était auprès de Henri-Louis Duhamel Du Monceau, inspecteur général de la Marine.

André Morel

AN, Col., C11A, 50, ff.77–78 ; 51, ff.4950 ; 59, ff.268–273 ; 93, ff.282–283 ; 109, ff.235396 ; Col., E, 43, ff.9–38.— ANQ, Greffe de J.-É Dubreuil, 29 juill. 1729 ; NF, Ins. Cons. sup., VI ; 147151, 455461 ; VII : 431 ; VIII 111113 (copies aux APC).— APC, MG 18, J8. Documents inédits, RHAF, II (19481949) : 583–589.— Documents relatifs à la monnaie sous le régime français (Shortt), II : 618.— État présent du Canada, dressé sur un nombre de mémoires et connaissances acquises sur les lieux, par le sieur Boucault (1754), RAPQ, 19201921, 1150.— Inv. de pièces du Labrador (P.-G. Roy), I : 29, 48, 62, 73, 103, 105, 113, 155, 162, 167, 171, 175, 183, 292 ; II : 46, 114, 116, 121139, 144, 156, 161, 163, 168, 174, 181, 183, 184.— Loterie des demoiselles Rey-Gaillard (1730), RAPQ, 19231924, 147s.— Loterie de Gaspard Chaussegros de Léry, ingénieur en chef de la Nouvelle-France (1732), RAPQ, 19231924, 153s.— É.-Z. Massicotte, Nouvelles notes sur la foi et hommage, BRH, XXVI (1920) : 300–303.— Procès-verbal de l’état des registres du greffe du siège de l’Amirauté de Québec dressé par Louis-Guillaume Verrier, procureur général du Conseil supérieur, les 2, 3, 6, 7, 10, 11, 12 septembre 1737, RAPQ, 19201921, III131.— Procès-verbaux du procureur général Collet (Caron), RAPQ, 19211922, 262–380.— RAC, 1904, 93, 104, 223, 224, 228, 236, 259, 285, 287 ; 1905, I, VIe partie, 96.— Recensement de Québec, 1744 (RAPQ).— Caron, Inventaire de documents, RAPQ, 19411942, 253.— Gareau, La Prévôté de Québec, RAPQ, 19431944, 139142.— Inv. greffes not., XXI : 104, 116, 121, 129, 157.— Le Jeune, Dictionnaire.— A. Roy, Inv. greffes not., X : 161.— P.-G. Roy, Inv. coll. de pièces jud. et not., I : 84, 96. 126 ; II : 364 ; Inv. concessions, IV : 7984 ; Inv. jug. et délib., 17171760, passim ; Inv. ord. int., II III, passim.— Tanguay, Dictionnaire.— P.-G. Roy, La ville de Québec, II : 85s., 239s., 243s.— Benoît Robitaille, L’habitation de Constantin et la possession du Grand Saint-Modet, BRH, LXI (1955) : 163168.— J.-E. Roy, Notes sur Mgr de Lauberivière, BRH, I (1895) : 9.

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André Morel, « BOUCAULT, NICOLAS-GASPARD », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 21 déc. 2024, https://www.biographi.ca/fr/bio/boucault_nicolas_gaspard_3F.html.

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Auteur de l'article:    André Morel
Titre de l'article:    BOUCAULT, NICOLAS-GASPARD
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 3
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1974
Année de la révision:    1974
Date de consultation:    21 déc. 2024