Taché* et George-Étienne Cartier*, non sans avoir, cependant, de fortes sympathies pour Louis-Victor
Bellingham*. Aussi, il conserva toujours l’amitié intime et dévouée de George-Étienne Cartier, qui, dit-on
sérieusement avec le premier ministre sir John Alexander Macdonald* et sir George-Étienne
l’année précédente il avait été nommé juge adjoint à la Cour d’assises du comté de Carleton. En 1861, devenu alors un réformiste partisan de la coalition, il soutenait le gouvernement de George-Étienne
Cartier*, marchand important de la vallée du Richelieu et grand-père de George-Étienne Cartier*. En 1770, Jordan était créancier de
étaient peut-être en fort mauvais état, obtint le poste d’adjudant général adjoint du Haut-Canada le 19 août 1862. En 1868, après la Confédération, le ministre de la Milice du nouveau dominion, sir George
Draper*, il rendit une décision, qui souleva une vive controverse, en faveur du gouvernement de George-Étienne Cartier* et de John
faveur de George-Étienne Cartier*, qui venait d’être défait dans sa circonscription de Montréal-Est. Ils voulaient que Cartier manifeste
l’auteur l’étudie à partir de 27 hypothèses qui résument le problème de l’Union. En juillet 1864, alors que vient de s’établir la coalition entre George Brown et sir Étienne-Paschal
devant l’électorat après avoir accepté un poste dans le gouvernement, et une équipe un peu plus forte, avec George-Étienne
sir George-Étienne Cartier* et de Mgr Alexandre-Antonin Taché
Chauveau et George-Étienne Cartier* d’établir une école normale à Sainte-Anne-de-la-Pocatière, que l’abbé voulait intégrer à son
1856, il devint inspecteur de la milice volontaire active du Bas-Canada. C’est vers lui que George-Étienne Cartier*, procureur général
Ô Canada, mon pays, mes amours, écrit par sir George-Étienne Cartier*. Le 29 avril 1937, son chalet situé à Sainte-Scholastique
dans le cabinet de George-Étienne Cartier*, on l’admit au barreau le 30 octobre 1866. Il pratiqua ensuite sa profession en
Daily Star. Ami de George-Étienne Cartier*, il fut candidat conservateur dans Huntingdon lors des élections à l’Assemblée
BROWN, GEORGE, journaliste et homme politique, né à Alloa, Clackmannan, en Écosse, le 29 novembre 1818, décédé à Toronto le
commandant en Amérique du Nord britannique, ainsi qu’à sir George-Étienne Cartier*, ministre de la Milice et de la Défense, et à son tout
funérailles furent grandioses. Par une étrange coïncidence, elles eurent lieu à Notre-Dame deux jours après celles de sir George-Étienne
George-Étienne Cartier* d’assumer cette succession, Chabot accepta de nouveau ce poste. En cette qualité, il allait être mêlé de près à