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ces deux endroits leur nom actuel. D’après sa notice nécrologique, « c’était un pasteur de la vieille tradition anglicane, orthodoxe et logique
 
été repartagées de telle sorte que Macaulay avait obtenu la partie de chacun des lots qui se trouvait en bordure de la rue Lot. Un quartier populeux et surtout ouvrier, connu sous le nom de Macaulay
des anis personnels du premier lieutenant-gouverneur de la province, John Graves Simcoe*, comme en témoignent éloquemment les noms de
la rue Yonge, qu’il se mit plus tard à lotir ; ce secteur devint connu sous le nom de Macaulay Town et fut absorbé par la ville de Toronto en 1834
Ferguson*]. Au début de décembre 1818, Macaulay et Alexander Pringle achetèrent la Kingston Gazette et en changèrent le nom ; le 1er janvier 1819, ils lançaient le
 
célèbre famille londonienne du même nom. Après avoir obtenu une maîtrise ès lettres du King’s College à Aberdeen en 1782, il fréquenta probablement le Divinity Hall du Marischal College dans la même
changea son nom de famille pour Macallum au début des années 1880 ; orthographié MacCallum dans certaines sources universitaires), biochimiste, physiologiste
d’Adam Mabane. D’après une source, le nom de sa mère serait Wedel ; son père, bien que protestant, aurait refusé de jurer fidélité aux rois de la maison de Hanovre, et il aurait été apparenté à James
milles de Montréal ». De même, on prétend qu’il fréquenta le séminaire de Montréal, de Saint-Hyacinthe ou de Trois-Rivières, mais son nom ne figure dans les archives d’aucun de ces établissements
 
d’un ancien tailleur et soldat nommé Richard Curie, qui lui donnèrent quelque 23 enfants. Le prince fit élever les sœurs Curie au rang de baronnes du Saint-Empire sous le nom de L’Espérance, nom que
lord Loudoun, étaient rassemblées autour du fort Edward (également connu sous le nom de fort Lÿdius ; aujourd’hui Fort Edward, New York) refusèrent cependant à Lévis l’honneur de leur visite
les années 1920, la côte sud de la Gaspésie, dans la province de Québec, ne dispose d’aucun hôpital digne de ce nom. Aussi le plus québécois des premiers ministres québécois a-t-il poussé ses premiers
. Lévesque se réfugie alors en France, d’abord chez des parents de son père, en Normandie, les Lévesque-Besselière et les Lévesque-Lemaitre. De là, il se rend à Paris où, sous le nom d’emprunt de Guillaume
*, évêque de Sherbrooke, en particulier – n’agrée pas, en ces années d’après-guerre, la nomination d’un prêtre dont le nom de famille a une consonance italienne. Léger reprend l’œuvre sulpicienne interrompue
Wallace), Ottawa, 1926.— Gagnon, Noms propres au Canada français, BRH, XV (1909) : 119.— Le Jeune, Dictionnaire.— Prowse, History of Nfld., 239s.— [P.–G. Roy], Un
 
nouvelle société fut reconnue juridiquement sous le nom de l’Association de la bibliothèque des instituteurs du district de Québec. En 1846, Antoine Légaré
 
. Marie-Henriette LeJeune, connue plus tard sous le nom de « Granny » Ross, la sage-femme de l’île du Cap-Breton, reste un personnage folklorique populaire dont les faits et gestes sont peu
 
servant d’Alexander McNutt* comme agent, avait obtenu, en 1765, une concession – qui portale nom de Philadelphia Grant – de 200
*]. La seule mention de son nom dans le journal du régiment indique qu’il était joueur de cricket dans un match disputé en mai, après la bataille du mont Cut Knife. Il retourna à Toronto à la fin de 1885
 
certaine notoriété. Le plus âgé, George Byron Lyon Fellowes (son nom fut changé en 1856 afin qu’il puisse acquérir des propriétés de la famille de sa femme), fut avocat et député de la circonscription
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