sous le nom de Strathcona ou East End.
Pendant huit mois, soit jusqu’au grand incendie de juin 1886, Fortes exploita, au Sunnyside Hotel de la rue
e siècle adopte son nom. Le 22 août 1939, Pelletier a écrit dans le Devoir : « J’ai eu l’honneur d’être l’élève d’Achille Fortier pendant plusieurs années, et, si je suis
-Sauveur, sous la direction d’Albert Jobin. Ces cliniques, connues sous le nom de Gouttes de lait [V. Frances-Mathilde Barnard*], ont
qui, avec une autre esclave, Aminta, probablement sa femme, avait échappé en avril 1773 à un propriétaire de plantation de Virginie du nom de William Bradley. Le couple avait peut-être atteint l’État
et le Monetary Times, créé en 1867, dont il fut membre fondateur et rédacteur en chef.
On associe ordinairement le nom de Foster au
Correspondent and Advocate de William John O’Grady, qu’il fusionna sous le nom de Palladium of British
. Il en sort deux ans plus tard et poursuit ses études au collège des jésuites. Vers 1719, il fait profession chez les récollets de Québec, sous le nom de frère Simon, et, le 18 décembre 1723
. On trouve dans les greffes de notaires des contrats établis à son nom dont la valeur se monte jusqu’à 9 500#. Il achetait sa marchandise à La Rochelle et, en 1734, Jean Butler, négociant de
d’Andrew Foulis, éditeur de Glasgow, et de sa femme dont le nom de jeune fille était Dewar ; il épousa en premières noces, à Belfast, Elizabeth Leatham et ils eurent une fille ; deux enfants, nés
de la réforme et du progrès sous la présidence de René-Édouard Caron ; il est alors assistant du secrétaire-archiviste Napoléon Aubin. En 1849, son nom figure avec ceux d’Aubin, de Plamondon et de
11 janvier 1923 à Kingston, Ontario.
À l’origine, le nom de famille de James Fowler était Fowlie. On ignore pourquoi ou à quel moment précis, jeune
, jusqu’à un point qu’il désigna du nom de « cap Dorchester » ; il baptisa (le 22 septembre) du nom fantaisiste de « Fox his farthest » la contrée avoisinante qui, d’après ses
accepta d’assister aux épreuves de sélection et se joignit à l’équipe. Il participa à des tournois de basketball tout en recevant de la chimiothérapie et son équipe remporta trois titres nationaux. Son nom
en 1864 sous le pseudonyme « A Nova Scotian », manifestement en raison de sa réticence, comme femme, à publier sous son propre nom. L’ouvrage s’adressait aux jeunes et offrait « une
création en 1907 sous le nom de Cosmopolitan Club. On constitua les deux regroupements à cause de l’interdiction, pour les Juifs, d’appartenir à des associations de la haute société anglo-saxonne
du général et des officiers supérieurs sous l’ordre desquels ils agissaient sur la rive ». On cita le nom de Franklin dans des dépêches, et Lambert recommanda fortement sa promotion, que Cochrane
témoigne de son importance. Dès 1805, on connaissait la société sous le nom de Robert Dickson and Company.
La concurrence de plus en plus vive des
Québec. Son nom figurait sur la liste des passagers de la Charente en avril et, en mai, le roi avertit Frontenac et Champigny que Franquelin, son hydrographe, retournait à Québec. Mais, en
».
À la mort de sa mère (1644), il entre chez les Récollets de Paris ; il y fait profession le 8 octobre de l’année suivante et prend le nom de frère Luc, sans doute en souvenir du patron des
prit le nom de James Fraser and Company. Cette nouvelle compagnie poursuivit ses activités au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse jusqu’à la mort de James