OUTOUTAGAN (Outoutaga, Otoutagon, Ottoutagan, mieux connu sous le nom de Jean Le Blanc ou Jean Le
Q’actuelle rue Saint-Sulpice) jusqu’à ce qu’il la vende en 1730. Il engagea comme aide, en 1731, un « garçon orfèvre », du nom de Jacques Dache, pour une durée de quatre mois. Jusqu’à maintenant
mines de touttes façons, surtout de celles de cuivre, [...] au surplus de prendre possession au nom du Roy de tout le pays habité et non habité [...] ». Perrot forme alors une nouvelle société
.
Il avait donné son nom à une rivière qui prend sa source dans le lac Nipigon et se décharge au sud-ouest de la baie James. Sur une carte
, Marie Viel, au nom des trésoriers généraux de la Marine et en celui de son père, pour une somme de 30 000# qui manque à la caisse ; il obtient gain de cause le 3 novembre 1702. Peu après
1686 une Indienne de cette tribu, du nom de Marie-Thérèse, née en 1668, avec qui il eut, d’après le recensement de 1708, au moins sept enfants. Le 7 janvier 1721, après le décès de sa
secrétaire du Roi, et greffier en chef du Conseil Souverain de Québec ». Il occupa ce poste jusqu’à sa mort.
En 1695, il prit le nom de Gaudarville, en
PHILIPPE (Philippes) DE HAUTMESNIL DE MANDEVILLE, FRANÇOIS (connu aussi sous le nom de sieur de Marigny), commerçant
, XX (1914) : 178.— Gagnon, Noms propres au Canada français, BRH, XV (1909) : 154.
Nouvelle-France. À partir de 1722, et jusqu’à sa mort, on trouve son nom relié à plusieurs aspects du commerce des fourrures soit comme associé, soit comme représentant de plusieurs officiers et commandants
* de La Barre suggéra son nom comme gouverneur de Montréal en remplacement de Perrot*. Provost n’obtint pas le poste, n’ayant aucun
est au couvent de Notre-Dame-des-Anges de Québec, à titre de missionnaire. En 1684 et en 1685, il est desservant à la cure Saint-Joseph de la Pointe-Lévy où son nom apparaît dans les registres. En 1686
chefs de Ville-Marie de 1665 à 1676).— Jug. et délib., II : 132s., passim.— Gagnon, Noms propres au Canada français, BRH, XV (1909) : 156.— Massicotte, Les
parleront au nom de tous les Français parce qu’il est essentiel, selon eux, de redonner confiance aux Premières Nations alliées en réaffirmant la volonté des Français de faire du commerce avec eux et de les
, Joseph-Charles, fut notaire royal et greffier du tribunal de Montréal, et le second, Paul-François, anobli sous le nom de Raimbault de Saint-Blaint (ou Simblin), que portèrent ses descendants
-Laurent. Le ministre Pontchartrain avait en effet écrit au père Pierre de La Chasse* au nom de Louis XIV pour faire revenir le
historique de Montréal ; né à La Gesse, en Bourgogne, le 15 juin 1659, et décédé à Québec le 31 juillet 1724.
Le nom de
1679, et Jacques-Denis, né en 1685 et mieux connu sous le nom de Raudot de Chalus, ainsi qu’une fille, Marguerite-Françoise. Il ne fait aucun doute que Jacques avait reçu une solide formation en droit
commandant d’un poste chez les Miamis. Cependant trois et, peut-être, même quatre postes étaient alors, ou connus sous ce nom, ou situés dans le territoire des Miamis
Pontchartrain, et dans sa lettre, qui ne brille ni par l’écriture ni par l’orthographe, il retrace les grandes lignes de sa carrière et donne comme référence le nom de plusieurs officiers sous les ordres desquels