Toronto en 1835. Toutefois, son nom ne figure ni dans les répertoires ni sur les rôles d’impôt de la ville pour les années 1830. En fait, le nom de Thomas Appleton n’apparaît nulle part jusqu’en 1841, année
API-KAI-EES (nom qui signifie « viande séchée avariée » et parfois traduit par « mauvaise viande séchée », connu
leurs attaques. Elle demanda en outre un échange général des prisonniers. Bien que les ambassadeurs aient déclaré parler au nom de la nation iroquoise tout entière sauf les Agniers, Callière ne leur
Wolfe* et de Louis-Joseph de Montcalm* ; le nom d’Antrobus apparaît sur la liste des donateurs. Il est donc probable que
Ontario), dans le pays huron, le 9 juillet 1648. Elle était dirigée par un Indien du nom de Soines, né Huron, mais naturalisé Onontagué. Les négociations alternèrent entre le pays des Hurons et
expérience de banquier, il fut un précieux administrateur pour le syndicat. En 1904, la Compagnie du chemin de fer canadien du Pacifique l’avait honoré en donnant le nom d’Ateliers Angus à son nouveau complexe
Bourget*], il répliquait que celui-ci n’était pas comme « le parti d’infidèles qui, en Europe, salissait] le nom de libéral en guerroyant sans relâche contre toute vraie liberté, contre la société
Minty, partenariat éphémère. En 1894, Anglin avait déjà fondé un nouveau cabinet avec James Woods Mallon, diplômé de la University of Toronto, sous le nom d’Anglin and Mallon. Leur pratique était variée
identité de la romancière : « Jamais je n’ai permis de joindre mon nom à mon pseudonyme », dit-elle à Casgrain le 14 janvier 1884, après avoir demandé à Garneau d’intercéder pour elle auprès
1851, il occupe la présidence de l’Institut canadien de Québec. Son nom ne figure toutefois pas sur la liste des membres fondateurs établie par Alphonse Désilets et publiée en 1948. Puis, de 1851 jusqu’à
, « le point culminant de sa carrière ». En fait, son nom demeure plutôt associé à la destitution de Mercier, geste courageux selon les conservateurs, décision inconstitutionnelle et dictatoriale
. Elle fit profession trois ans plus tard et choisit le nom de sœur Marie de Jésus. Elle se consacra d’abord à l’enseignement, mais son talent pour la peinture ne tarda pas à émerger. Sa première toile
plus tard, la fonderie elle-même et deux usines plus petites fusionnèrent sous le nom de Newfoundland Consolidated Foundry Company et furent placées sous sa direction. Parmi les investisseurs de cette
Leigne et de Claude Fredin, décédée à Trois-Rivières le 16 janvier 1766.
Louise-Catherine André de Leigne fut une de ces femmes dont le nom est
appartenait à une famille de très ancienne noblesse anjevine. Son aïeul paternel, Gaston d’Andigné, avait acquis (avant 1565) la terre de Grandfontaine, dont ses descendants prirent aussi le nom. Cadet de
rendit en toute hâte à Prairie du Chien et il s’empara du fort qu’on baptisa McKay, du nom d’un vieux Nor’Wester, William McKay*, qui
fin à la co-association avec la Forsyth, Walker & Company et réorganisa la firme de Montréal sous le nom d’Anderson, Auldjo and Company. Les associés d’Anderson, Louis Auldjo, William Evans et
.
Presbytérien fervent, Anderson fut conseiller presbytéral de la congrégation Coté Street (qui porta plus tard le nom de Crescent Street) durant un certain temps, et de la congrégation St Gabriel Street de 1855 à
Henry Bibb*, vers septembre 1853. Il prit alors le nom de John Anderson et travailla par la suite comme plâtrier et manœuvre à Hamilton et à
d’Anderson and Lumsden. Anderson était l’associé principal de la firme, qui fut dissoute en 1887 lorsqu’il partit en affaires seul sous son propre nom. Il donna à son commerce les titres accrocheurs de