, mort en 1712.
On cite pour la première fois le nom de Scatchamisse dans les livres de comptes d’Albany de 1702–1703, comme chef des Indiens sagamys
–1700. Elle y prit le nom de sœur Marie-des-Anges. Après sa profession religieuse, elle fut envoyée à la mission indienne de Sault-au-Récollet où plusieurs captifs de la Nouvelle-Angleterre étaient réunis
n’est pas toujours facile d’identifier la part de chaque auteur. Ce travail comprend des discussions d’ordre systématique, des considérations médicales, ethnographiques, historiques et aussi des noms
-Ours et de Jeanne de Calignon. Sa famille descendait de Pierre de Saint-Ours (Petrus de Sancto Orso), premier du nom, qui vécut vers 1330.
Saint-Ours
SAGEAN (Sajan, parfois connu sous le nom de Mermande), MATHIEU, soldat, aventurier et inventeur d’un éphémère El
souvent sous ce nom), procureur général au Conseil souverain de Québec de 1680 à 1707, fils de Denis-Joseph Ruette* d’Auteuil et de
elle, car son nom apparaît dans les archives en relation étroite avec celui du découvreur et elle était la seule célibataire de son rang à habiter le fort Frontenac
Sevestre ; il porta le nom de La Cardonnière jusqu’à la mort de son père le 6 décembre 1700 et par la suite, en sa qualité d’aîné de la famille, il hérita du titre de Villeray
, baptisé à Lachine le 15 mars 1684 sous le nom de Cavelier, fils de Pierre Cavelier, bourgeois, et de Louise-Anne Du Souchet, décédé à Québec le 8 février 1721, inhumé le lendemain
Pontchartrain, et dans sa lettre, qui ne brille ni par l’écriture ni par l’orthographe, il retrace les grandes lignes de sa carrière et donne comme référence le nom de plusieurs officiers sous les ordres desquels
commandant d’un poste chez les Miamis. Cependant trois et, peut-être, même quatre postes étaient alors, ou connus sous ce nom, ou situés dans le territoire des Miamis
1679, et Jacques-Denis, né en 1685 et mieux connu sous le nom de Raudot de Chalus, ainsi qu’une fille, Marguerite-Françoise. Il ne fait aucun doute que Jacques avait reçu une solide formation en droit
historique de Montréal ; né à La Gesse, en Bourgogne, le 15 juin 1659, et décédé à Québec le 31 juillet 1724.
Le nom de
-Laurent. Le ministre Pontchartrain avait en effet écrit au père Pierre de La Chasse* au nom de Louis XIV pour faire revenir le
, Joseph-Charles, fut notaire royal et greffier du tribunal de Montréal, et le second, Paul-François, anobli sous le nom de Raimbault de Saint-Blaint (ou Simblin), que portèrent ses descendants
parleront au nom de tous les Français parce qu’il est essentiel, selon eux, de redonner confiance aux Premières Nations alliées en réaffirmant la volonté des Français de faire du commerce avec eux et de les
chefs de Ville-Marie de 1665 à 1676).— Jug. et délib., II : 132s., passim.— Gagnon, Noms propres au Canada français, BRH, XV (1909) : 156.— Massicotte, Les
est au couvent de Notre-Dame-des-Anges de Québec, à titre de missionnaire. En 1684 et en 1685, il est desservant à la cure Saint-Joseph de la Pointe-Lévy où son nom apparaît dans les registres. En 1686
* de La Barre suggéra son nom comme gouverneur de Montréal en remplacement de Perrot*. Provost n’obtint pas le poste, n’ayant aucun
Nouvelle-France. À partir de 1722, et jusqu’à sa mort, on trouve son nom relié à plusieurs aspects du commerce des fourrures soit comme associé, soit comme représentant de plusieurs officiers et commandants