Angers, France, fils de Joseph Durocher, tailleur d’habits, et de Marguerite Le Roy, décédé avant le 15 septembre 1756.
Le nom de
Durell, procureur général de l’île, et d’Elizabeth Corbet ; il épousa sa cousine germaine Madeline Saumarez, puis une dame de Bristol du nom de Skey, et, en troisièmes noces, la veuve du capitaine
mois ; il se plie aux exigences du gouverneur et, sur les entrefaites, il se rend à Louisbourg, île Royale (île du Cap-Breton), demander, au nom des Acadiens, les conseils de Saint-Ovide [Monbeton
Duplessis ; une esclave portant le même nom fit sa première communion à Montréal le 13 juin 1767. Il est plus plausible de croire qu’après l’ordonnance de l’intendant l’esclave, qui avait
Dupuy, en 1728, et qu’un certain jésuite Cabrara leur aurait servi cette remontrance. Le nom de ce jésuite ne figure sur aucune liste de jésuites en
procurer l’occasion d’acquérir de l’expérience et de prouver qu’il était digne du nom qu’il portait. Des six mois que dura la mission, deux mois et demi furent passés à Québec, mais on ne ramena que quelques
français des pays d’en haut. Le supérieur de cette mission est grand vicaire de Pontbriand et envoie, au nom de l’évêque, des missionnaires où le besoin s’en fait sentir [V. Jean-Baptiste
son nom apparaît sur la liste des greffiers de la juridiction royale de Montréal. Durant les années suivantes, il eut l’occasion d’exercer la charge de greffier intérimaire jusqu’en 1728. Il est fort
du futur fort William Henry (connu également sous le nom de fort George, l’actuel Lake George, N.Y.), à 14 milles au nord-ouest de sa première base, le fort Edward, situé sur le fleuve Hudson. Dieskau
le nom de « Jean Baptiste Maison Basse, orfèvre » âgé de 49 ans et habitant rue Sous-le-Fort. D’autre part, dans un document daté du 6 octobre 1745, l’épouse de l’artiste est
), qui fut concédé sous le nom de Horton le 21 mai. Le Conseil devait assurer le transport des colons et de leurs bestiaux, du matériel agricole et des ménages et aussi fournir du blé aux
agissait surtout comme courtier, achetant et vendant des marchandises et des navires, soit pour son propre compte, soit au nom des marchands d’autres ports, tels que Québec et Saint-Jean-de-Luz en France
.
Delaborde mourut après avoir souffert pendant près d’un an d’aliénation mentale et il fut enterré à Louisbourg le 17 novembre 1754. Bien qu’il se soit marié jeune, on ne connaît pas le nom de son épouse et
nom de Villebon lui venait de son oncle Joseph Robinau* de Villebon), officier dans les troupes de la Marine, né
DEGUISE, dit Flamand (Flamant), GIRARD-GUILLAUME (connu sous le nom de
Bigot* l’aurait ensuite rachetée et conduite à Québec à la fin de l’été ou au début de l’automne de 1691. Baptisée le 23 mars 1692 sous le nom de Marie-Anne, elle aurait vécu dans
, apparemment, ne savait écrire que son nom, atteignit pourtant le niveau d’entrepreneur indépendant et il posséda sa propre maison, rue du Sault-au-Matelot. La plainte d’un de ses locataires (1735) laisse
.
Cet arrangement régulier se trouva compliqué par l’établissement de la Compagnie des Indes, nom sous lequel elle allait être connue, sous la direction du spéculateur écossais, John Law. En 1717, le
. Certains ont prétendu qu’elle s’était mariée une fois à l’église, mais aucun document n’a été retrouvé et le nom de son époux demeure inconnu. Ses mariages subséquents furent probablement contractés selon la
permission d’envoyer un canot de quatre hommes au poste de Baie-des-Puants (Green Bay, Wisc.). Il ne fit des engagements pour l’ouest en son propre nom qu’en 1747, 1748, 1752 et 1756, mais l’on peut