décrit Robinson comme un « occupant naturel de la deuxième place que son nom, les talents de son épouse, sa bourse profonde et son énergie animale combinés ont élevé au-dessus d’autres plus doués que
tourna vers l’administration de son bureau, il parut dépassé. Comme le craignait John Beverley Robinson, il était trop terne à York pour que l’on se souvienne de ce qu’il accomplissait ailleurs. Son nom
accords connus sous le nom de « Robinson Treaties ». Aux termes de ce traité, dont le chef William Yellowhead* fut l’un des signataires, plus
cotisations et les arrérages des années précédentes.
Le nom de Robitaille est intimement lié à l’histoire de plusieurs établissements financiers de la
Sophiasburgh, dans une municipalité connue par la suite sous le nom de Roblin Mills ; décédé à Picton, Ont., le 12 novembre 1874.
John
Maclean], il opta pour le nom de Vancouver, même s’il l’avait déjà qualifié d’« indésirable et [de] déroutant ». Sans nier jamais sa participation au marché foncier de Vancouver, il
canonique l’année suivante.
En 1905, Roch revient au Canada et enseigne dès lors la philosophie et la théologie au séminaire de Joliette, nom qu’a pris le
tanneurs et corroyeurs de Québec.
Rochette est un petit industriel qui assure son financement à court terme au moyen de billets à ordre tirés au nom de son
premier de sa classe, prononça le discours d’adieu au nom de sa promotion et reçut la médaille Holmes, décernée à l’étudiant qui avait eu les meilleures notes pendant le cours de quatre ans
famille de 16 enfants, Rodier fut baptisé du nom de Charles, auquel on ajouta plus tard celui de Séraphin. On ignore à peu près tout de son enfance ; en 1809 et en 1810, il fréquenta le collège de
RODIER, CHARLES-SÉRAPHIN (baptisé Séraphin ; il ajouta jr à son nom pour se distinguer de son oncle Charles
noms commencent par les lettres R et S, carton 9.— L’Ami du peuple, de l’ordre et des lois, 26 avril 1834.— Le Canadien, 4 mars, 29 avril, 3 juill
).
Quant à Roe lui-même, il est possible qu’il eût antérieurement séjourné dans la région de la frontière ouest de la province, peut-être pendant qu’il était sous les armes, car son nom apparaît sur une
probablement Roger qui prépara le guide historique Quebec : as it was and as it is, dont il y eut cinq éditions de 1857 à 1867 ; les quatre premières parurent sous le nom de Willis Russell
les unités loyalistes, trouva celle de Rogers dans une piètre condition, et celui-ci fut mis à la retraite avec demi-solde. Les Queen’s Rangers, nom sous lequel cette unité finit par être connue, se
.
Rogers voulait absolument trouver le col, auquel Hill avait promis de donner son nom. « Son ambition première était d’avoir son nom inscrit dans l’histoire », a dit de lui son ami Thomas Edmonds
l’intention d’un nouvel hôpital, devint en 1904 membre bienfaiteur à vie du Vancouver General Hospital et appartint au conseil d’administration de celui-ci, mais son nom est absent des débats sur la plupart des
Haldimand, Haut-Canada.
David McGregor Rogers avait, comme il aimait à le rappeler, un nom prestigieux. Son oncle Robert
Conrad et al., édit. (Halifax, 1988), qui reproduit également une photographie du sujet. Il faut noter que le nom de famille des parents d’Annie indiqué comme Butler à la p. 135 de la première
Macdonald*, la direction du parti provincial. Grâce au prestige du nom de Macdonald et au soutien du mouvement de tempérance, les conservateurs remportèrent les élections provinciales de décembre 1899