. Entre 1875 et 1878, Marcou se retire des affaires et l’entreprise prend le nom de George Richard Renfrew and Company. Le principal associé de Renfrew est alors son cousin, John Henderson Holt, que l’on
, avec Sylvester E. Briggs, fondèrent la Steele Brothers and Company, qui, sous le nom de Steele-Briggs Seed Company, allait acheter la société de Rennie en 1961. Ces entreprises devaient leur succès
Casgrain*, confondant l’orthographe des noms aussi bien que les personnes, écrit que le curé de Québec, l’abbé Resche, présida à l’inhumation de
l’Église méthodiste, nomination qui entra en vigueur au mois de juillet suivant, lorsque les quatre Églises méthodistes en Canada s’unirent officiellement sous ce dernier nom. Rice préconisait l’unification
que plusieurs équipes veulent compter cet ailier gauche parmi leurs joueurs. Ne pouvant faire partie de plus d’une par année, il décide d’emprunter différents noms : il peut ainsi jouer au hockey
RICHARDS, JACKSON JOHN (connu aussi sous les noms de Jean Richard et de
, il devint ministre de l’Église méthodiste épiscopale récemment constituée (l’Église qui avait porté ce nom était devenue l’Église méthodiste wesleyenne), refuge de ceux qui pour diverses raisons
l’entreprise fait remonter à 1857 l’établissement du commerce familial de grain qui allait devenir plus tard la James Richardson and Sons. La première indication du nom de cette entreprise se trouve dans
le nom de Wacousta, il aide Pondiac* à mener en 1763 une insurrection armée contre les forts anglais du Nord-Ouest. Seul Detroit est épargné parce
, qui devait servir sur les lacs Huron et Michigan. À la mort de Robert Ellice en 1790, Richardson devint associé de la compagnie, qui prit alors le nom de Forsyth, Richardson and Company. Même si les
Winnipeg Daily Tribune. Lancé en janvier 1890, ce périodique était indépendant, mais avait le soutien du Parti libéral. Il prendrait le nom de Winnipeg Tribune en juin 1903, puis celui d
forma une nouvelle association avec Gilbert Henry Harrison et James Harrison, et la firme prit le nom de Ridley, Harrison and Company. Après la mort de Gilbert Henry Harrison en 1849, cette association
l’élaboration du projet de loi qui devait conférer le statut de cité à la ville de York et en reculer les limites tout en lui donnant le nom de Toronto. Le choix de ce nom en 1834 s’explique du fait que les
prit le nom de Joseph D. Ridout and Company. Son frère, George Percival, se joignit à lui en 1832, et l’entreprise, devenue la Ridout Brothers and Company, se lança également dans le commerce
l’oligarchie coloniale qui allait être connue sous le nom de family compact d’acquérir un pouvoir de plus en plus grand
la région allait bientôt être annexée, le gouvernement estimait que cette route – appelée la « route Dawson », du nom de l’ingénieur Simon James
Percé, entrepreneur d’églises et autres édifices, toujours sous le nom de Rigali et Compagnie (1881–1883), puis avec l’un ou l’autre de ses fils établis à Québec, sous le nom de Rigali et Fils
temps, Berryer, et qu’il était très heureux de voir son nom finalement blanchi.
Vaudreuil pouvait dès lors considérer avec plus de sérénité le
, tandis que Conflans était rappelé en France. Vaudreuil semble avoir été très apprécié par ses administrés, qui regrettèrent son départ et donnèrent son nom à une rue de la ville du Cap. Médéric-Louis-Élie
Pontchartrain, et dans sa lettre, qui ne brille ni par l’écriture ni par l’orthographe, il retrace les grandes lignes de sa carrière et donne comme référence le nom de plusieurs officiers sous les ordres desquels