, sous le nom de sœur Saint-Ange et, à partir de 1700, sous celui de sœur du Saint-Sacrement, née à Ville-Marie le 3 mai 1666, supérieure générale de la congrégation de Notre-Dame de 1708 à 1711
traite. Au bas des obligations notariées, on trouve les noms des plus grands trafiquants de l’époque.
Le 4 août 1687, François était élu tuteur des
avant d’être envoyé à la mission iroquoise de Saint-François-Xavier, à Sault-Saint-Louis (Caughnawaga). En 1677, on trouve son nom inscrit aux registres de Laprairie et de Lorette. Cette année-là Kateri
, le principal village des Agniers, et participa aux cérémonies officielles qui entourèrent la prise de possession des territoires avoisinants au nom de Louis XIV
biographiques qui ont servi de canevas à Lesage. Le cadre général du récit, les noms de personnages obscurs, comme celui de l’abbé Périac (Priat), des épisodes comme l’expédition ratée de Corlaer, le voyage
allaient en délégation auprès du gouverneur Rigaud de Vaudreuil usaient de son nom pour manifester
. Jusqu’en 1670, le procureur remplissait aussi le rôle de supérieur de Saint-Sulpice au Canada. C’est à lui que le supérieur général de Paris, au nom des seigneurs de l’île de Montréal, donnait sa procuration
généalogiste des ordres du roi, Pierre Clairambault (1651–1740). Les Clairambault, établis à Séboncourt (Aisne), auraient émigré dans la région de Nuits-sur-Armançon vers 1630. Le nom d’Aigremont provient
la retraite en 1696 avec une pension de 600# par an. Après cette date, son nom ne figure plus sur le rôle des officiers des troupes de la colonie. On peut dire de lui qu’il personnifiait toutes les
le syndic des marchands. Il défendit encore l’intérêt du commerce dans deux mémoires qui n’eurent toutefois pas de suite : l’un sur le paiement des lettres de change, l’autre où, agissant au nom
Terre-Neuve ; circa 1706–1720.
On rencontre pour la première fois le nom du marchand John Collins en septembre 1706, quand le commodore
.
Le père Nicolas-Bernardin dut être l’un des quatre récollets passés au Canada en 1696. Son nom apparaît pour la première fois le 8 novembre 1697 à Trois-Rivières, et il y inscrivit un
.
Callière le recevait enseigne en octobre. En 1703, Coulon de Villiers demeure en garnison a Montréal où on retrouve son nom dans plusieurs actes notariés. Il semble s’être marié en 1705, car, le 7
situation dans l’île. Les décisions de Crowe furent ensuite promulguées sous le nom de « lois de Crowe » mais ces 16 articles ne constituent pas un code de loi et il n’est pas certain qu’ils aient
nom de fort Cuillerier. Au recensement de 1681, il avait 32 arpents en valeur et il possédait six fusils, un pistolet et six bêtes à cornes.
Malade
de ses démarches, il reçut en 1707 deux sommes d’argent qu’il transporta aux Ursulines de Trois-Rivières, et, en 1708, il leur constitua une rente au nom de sa sœur, Catherine Céloron, de Paris
Philip’s War (du nom d’un chef indien) en 1675–1676 ; il poursuivit ses activités militaires après son installation à Falmouth où il commanda le fort Loyal, la principale place forte
leur métier à Montréal, spécifiant en détail leurs droits et leurs devoirs. Peu après, Delaunay prit à son service un engagé du nom de Gabriel Lenoir dit Rolland qui devint son associé en 1713 et épousa
-Constantin De Lhalle. De plus l’orthographe de son nom varie beaucoup, à toutes les époques : Dehalle (Simple Bocquet), De L’halle et Delahalle (Bonaventure Liénard), de L’Halle (Gosselin), Challe
nom de Joseph, sans doute en mémoire du patron que les Récollets de 1615 avaient donné au pays. L’année suivante, soit er 1678, le père Valentin