à l’encan. En 1853, il devient l’associé de James Benning, et l’entreprise prend alors le nom de Benning and Barsalou. En 1857, l’actif de la firme se situe entre 60 000 $ et 70 000
mena au nom de la liberté de la presse. Esprit combatif et doué d’un rare talent d’écriture, il se voulait la conscience de ses concitoyens. En ce sens, ses campagnes de presse éclairent l’homme
goût du secret, il prit le nom d’Henri Le Caron et déclara être de nationalité française. Il servit en Virginie puis, en 1862, on l’envoya dans l’Ouest. Il s’y montra si utile comme éclaireur et
, entra en service. La concurrence entre ces bateaux donna rapidement lieu à une fusion, et la nouvelle entreprise, à laquelle Beatty participa, prit le nom de Georgian Bay Transportation Company Limited
et, en 1842, selon le rôle d’évaluation, ils étaient toujours copropriétaires de leurs locaux de la rue King. En 1843 cependant, la propriété était au nom de Beaty, qui était alors inscrit comme
joueurs du Montreal Lacrosse Club et du Beaver Lacrosse Club. Le bataillon en question devint célèbre sous le nom de Victoria Rifles of Canada. Beers fut l’un des fondateurs de l’Association des gymnastes
1882, le cas Thrasher (du nom d’un rocher du port de Nanaimo sur lequel un navire s’était écrasé) : il fallait déterminer si le gouvernement provincial avait le pouvoir d’exercer un droit de regard
« Loyal Village Guards ». En collaboration avec James Wylie, de Shipman’s Mills (Almonte), il fonda en 1840 une société connue aujourd’hui sous le nom de North Lanark Agricultural Society. Deux ans
Davin* écrivit qu’« à un moment donné, le nom de Bellingham était synonyme de pouvoir à Montréal et était connu dans tout le Canada » et qu’il avait été « l’un des écrivains politiques
beaux jours de la ruée vers l’or étaient révolus dans la région de Cariboo et Mme Bendixen retourna à Barkerville, la seule ville encore viable dans ce coin de pays. Unique femme dont le nom figurait
éprouva le besoin de signaler que son « nom était bien connu des artistes, quoique peu familier au public ». Il faut dire que son art, d’inspiration académique, aurait semblé déplacé à l’Upper
, constituée juridiquement en 1894 sous le nom de Bertram Engine Works Company Limited, et pour laquelle on allait offrir des actions. Parmi les premiers qui en acquirent figuraient les hommes d’affaires
Austin] ; son salaire annuel était de 4 000 $. Loin d’être le premier choix des administrateurs, il était en fait le quatrième. Cependant, son nom était déjà fait. Selon le
compagnie, avait obligé celle-ci à trouver un autre candidat. Néanmoins, elle confia à Douglas le mandat de diriger les affaires de la colonie en son nom conformément à la charte dont elle disposait. En
distingua si bien par sa « bravoure et son intrépidité » que son nom figura deux fois dans des dépêches du feld-maréchal lord Roberts, commandant en chef britannique en Afrique du Sud
trouvait alors à Winnipeg. Nommé officier, il retourna tout de suite dans la région de Russell pour former deux troupes d’éclaireurs qui, connues sous le nom de Boulton’s Scouts, jouèrent un rôle majeur à la
clair ses rapports avec le comité organisateur. Brown attacha d’ailleurs plus d’importance à la découverte de charbon dans une rivière située près de Comox, qui reçut son nom. Même si elle ne présentait
xxe siècle. Même si aujourd’hui la compagnie porte encore son nom, elle n’appartient plus à ses descendants
de fer de Québec, Montréal, Ottawa et Occidental. Une société constituée en 1880 sous le nom de Chemin de fer de jonction de Pontiac au Pacifique construisit ce tronçon sur la rive québécoise de la
vendu l’année précédente sa part dans leur entreprise de Hamilton ; la manufacture sera connue jusque vers 1864 sous le nom de A. and J. Buntin. En 1856 également, les deux frères ouvrent à Toronto