Turgeon, en date du 17 juillet 1850, qui détermine aussi son nom, soit Notre-Dame-de-la-Victoire. Le nouveau temple est ouvert au culte le 20 novembre 1851 et, en octobre de l’année
an cours d’une tombola artistique parrainée par l’Association des beaux-arts de Montréal. Son nom figura à cette occasion avec ceux d’artistes établis, dont Otto Jacobi et James D
de charité de l’asile de la Providence, publié en 1869, et on retrouve son nom parmi les fondateurs de l’Association médicale du Canada (1867), de la Société médicale de Montréal (1871) et de
étroitement à l’entreprise. À divers moments, la fabrique prit le nom des fils, mais Farrar ne cessa jamais de s’y intéresser. Après sa mort, l’entreprise porta le nom de la famille jusqu’en 1926, année où
considérables dans l’entreprise de quincaillerie de son fils James, connue sous le nom de Bryson and Ferrier. Cette société fut dissoute en 1851, et George Davies Ferrier s’associa avec son frère, James fils
FIELD, ELIZABETH (Eliza) (Jones ; Carey) (connue aussi sous le nom de Kecheahgahmequa, « la femme venue de
et le Monetary Times, créé en 1867, dont il fut membre fondateur et rédacteur en chef.
On associe ordinairement le nom de Foster au
FRASSE DE PLAINVAL, LOUIS (connu aussi sous le nom de Louis Nathal), soldat, chef
Middleton* l’autorisation de lever une troupe d’éclaireurs. Cette troupe, connue plus tard sous le nom de French’s Scouts, comptait un autre officier, le lieutenant W. Brittlebank, et 33 hommes. Au
reçut le nom de son parrain, sir Isaac Brock*. En 1817, son père et sa mère étant décédés, il fut adopté par la sœur de sa mère, Margaret, qui
incontestablement précieux. En 1870, il acheta le Dominion Medical Journal (Toronto), en changea le nom pour celui de Canada Lancet et en garda la direction jusqu’à sa mort. La croissance du
» d’un journal de famille non publié ; celui-ci exista de 1856 jusqu’au début des années 1870 sous divers titres, mais fut surtout connu sous le nom de « The Gunpowder Plot Magazine ». Son
prescrites par la charte originale, ainsi que l’instabilité générale de l’économie, retardèrent au 27 décembre 1871 les véritables débuts de la compagnie, qui opéra sous le nom de Compagnie
Montréal, et la St Lawrence Bank surmonta la crise. On en changea le nom, en 1876, pour la Standard Bank of Canada. Avec des capitaux pourtant grandement inférieurs, elle devait prospérer par la suite
disparition de l’Acadian en 1862, le père alla rejoindre son fils au Register, qui prit le nom de Free Press en 1863. Ils continuèrent tous deux à publier ce journal jusqu’en 1872. Au
en 1804 et enregistrée en 1812 comme société en nom collectif, grâce à son oncle, Allan Gilmour l’aîné, principal associé de la compagnie. Son assiduité au travail et sa compréhension rapide du
réduisant de quatre à trois ans la « cléricature » des étudiants. Il avait le premier suggéré l’idée d’un tableau où seraient inscrits tous les noms et adresses des notaires en exercice dans la
les normes britanniques, mais beaucoup plus appropriée fit son apparition ; le modèle évolua aux États-Unis durant les décennies 1840 et 1850 et fut connu sous le nom de locomotive
, la Worts and Gooderham, qui fut dissoute à la mort de Worts en 1834. Gooderham maintint l’entreprise, mais en remplaça le nom par celui de William Gooderham, Company
où de lourdes pertes la contraignirent à s’intégrer à un groupe d’autres compagnies ferroviaires fusionnées sous le nom de Compagnie du chemin de fer Midland du Canada. En 1871, il fut l’un des