2081 à 2100 (de 4149)
1...103  104  105  106  107  ...208
marchandises laissées à l’inlet de Bute avaient été dérobées. Un Blanc questionna un groupe de Chilcotins à ce sujet. N’ayant pas obtenu de réponses satisfaisantes, il inscrivit le nom de ces Indiens et leur
 
portait, avant l’établissement du bureau de poste en 1851, le nom de Coldbrook. Ces installations augmentèrent la va- leur des terres en friche de la région, dont beaucoup lui appartenaient ou lui étaient
nous fait payer, sans notre consentement, une dette que nous n’avons pas contractée, en ce qu’elle permet à l’Exécutif de s’emparer illégalement, sous le nom de liste civile, et sans le vote des
fondée en 1827 par John Balkwill, puis achetée par William Balkwill et Thomas W. Shepherd, avant d’être vendue à Eccles, en 1847. Labatt and Eccles (c’est le nom que portait la société) ne tarda pas à
 
, gringalet même, il avait gardé de ses racines populaires la démarche gauche, le geste spontané. Affable et courtois, il connaissait, dit David, « les noms de la plupart des ouvriers de la division Est de
 
plusieurs endroits et ne restait que six ou sept semaines d’affilée dans un village. Il y avait une chapelle en bois à Neguac, mais Burnt Church n’avait plus que les ruines de son église qui donnèrent son nom
 
endroits portant son nom, commémorent sa vie sur la côte ouest. Madge Wolfenden
 
, il ajouta une faculté de droit en 1861 mais elle n’eut qu’une brève existence. Il accepta au nom de Queen’s la direction de l’observatoire de la ville – Nathan Fellowes Dupuis
en aidant le révérend John Watson dans son église d’Édimbourg. Parmi les étudiants qu’il prépara au baccalauréat en 1829 se trouvait un jeune Canadien du nom de Henry
 
de Huron devenait le comté de Perth, nom que Linton avait apparemment choisi seul. On louangea à Stratford ses « infatigables efforts et son inlassable persévérance ». En 1850, il fut nommé
 
LOLO (Leolo), JEAN-BAPTISTE (connu sous le nom de St Paul), employé de la Hudson’s Bay Company, trafiquant, et
 
. George Richard John Macdonell, connu sous le nom de Red George Macdonell, reçut une commission d’enseigne dans le 55e régiment d’infanterie de l’armée britannique le 15 septembre 1796
, de 1855 à 1857, il reprit ses cours d’hébreu. Il s’était marié en 1832, mais le nom de sa femme n’est pas connu. Sa fille, Agnes Maule Machar
. Le 5 décembre 1833, il manifesta ses nouveaux sentiments en supprimant le mot « Colonial » du nom de son journal. Il était revenu au Canada en août. Le 17 décembre, il fut déclaré exclu de
Québec. Deux idées maîtresses l’inspirent : pour plus d’efficacité pastorale et au nom d’un certain nationalisme, le clergé ne doit pas se mêler de politique, mais doit afficher une unité d’esprit et
jeune encore, il était déjà réputé comme guerrier, et ses ennemis, les Pieds-Noirs, le désignaient sous le nom de Mon-e-guh-ba-now, ou encore Mani-kap-ina, c’est-à-dire jeune chef. Selon un missionnaire
à cette union, mais l’accepta lorsqu’il s’aperçut que le nom du nouvel organisme faisait mention de l’affiliation à l’Église d’Écosse. À la même époque, il collabora aussi à la création de Queen’s
 
efforts d’Osunkhirhine (connu aussi sous le nom de Pierre-Paul Masta) pour introduire chez les Indiens le protestantisme. Il fut aussi l’auteur de deux mémoires importants pour la connaissance des Abénaquis
acres ainsi qu’une maison en bois sur la rive sud du lac Simcoe, près de l’endroit où se trouve actuellement Jackson’s Point, et elle donna à cette propriété le nom d’Eildon Hall. De retour en Écosse au
prononce qu’avec respect et reconnaissance le nom du Révérend Mignault, qui avait un vrai cœur de père pour les Canadiens immigrés. » En 1852, il reçut du pape Pie IX le titre d’aumônier
2081 à 2100 (de 4149)
1...103  104  105  106  107  ...208