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en aidant le révérend John Watson dans son église d’Édimbourg. Parmi les étudiants qu’il prépara au baccalauréat en 1829 se trouvait un jeune Canadien du nom de Henry
 
, il ajouta une faculté de droit en 1861 mais elle n’eut qu’une brève existence. Il accepta au nom de Queen’s la direction de l’observatoire de la ville – Nathan Fellowes Dupuis
 
endroits portant son nom, commémorent sa vie sur la côte ouest. Madge Wolfenden
 
plusieurs endroits et ne restait que six ou sept semaines d’affilée dans un village. Il y avait une chapelle en bois à Neguac, mais Burnt Church n’avait plus que les ruines de son église qui donnèrent son nom
 
, gringalet même, il avait gardé de ses racines populaires la démarche gauche, le geste spontané. Affable et courtois, il connaissait, dit David, « les noms de la plupart des ouvriers de la division Est de
fondée en 1827 par John Balkwill, puis achetée par William Balkwill et Thomas W. Shepherd, avant d’être vendue à Eccles, en 1847. Labatt and Eccles (c’est le nom que portait la société) ne tarda pas à
nous fait payer, sans notre consentement, une dette que nous n’avons pas contractée, en ce qu’elle permet à l’Exécutif de s’emparer illégalement, sous le nom de liste civile, et sans le vote des
 
portait, avant l’établissement du bureau de poste en 1851, le nom de Coldbrook. Ces installations augmentèrent la va- leur des terres en friche de la région, dont beaucoup lui appartenaient ou lui étaient
marchandises laissées à l’inlet de Bute avaient été dérobées. Un Blanc questionna un groupe de Chilcotins à ce sujet. N’ayant pas obtenu de réponses satisfaisantes, il inscrivit le nom de ces Indiens et leur
 
Lower Cove, Saint-Jean, Nouveau-Brunswick, décédé le 21 novembre 1867 à Halifax, Nouvelle-Écosse. Le nom de George King est mentionné
 
 1860, date à laquelle McClure en devint propriétaire. Pour la Victoria Gazette, dont le premier numéro sortit le 5 décembre 1859, King s’appropria le nom du premier journal de la ville
jamais avec ses oncles dont plusieurs étaient de gros propriétaires à leur propre compte. C’est ainsi que le nom de la famille, attaché à bien des bateaux de Yarmouth, n’indique pas l’existence d’une
d’approvisionnement des troupes. En homme d’affaires avisé, il fit des placements en immeubles dans la ville d’York et il acheta et revendit des fermes dans le comté du même nom
 
grande influence dans cette entreprise à mesure qu’il put trouver des capitaux destinés à son expansion et, à partir de 1844, il en prit la direction sous le nom de Thomas Kay & Company. Il importa des
KAHGEGAGAHBOWH (Kahkakakahbowh, Kakikekapo) (connu sous le nom de George Copway), missionnaire méthodiste, écrivain
d’accéder facilement à leurs propriétés mais Jones, au nom de la société, hésitait à consentir cette dépense dans une zone presque entièrement vendue. En 1840, il fallut créer une commission provinciale
nom pour celui de Toronto. Quoiqu’il fût un tory (il assuma la présidence de la British Constitutional Society, l’aile politique des tories durant la période de 1836 à 1838), il préconisait le suffrage
 
sa ville ainsi qu’à sa province d’adoption. Parce qu’il s’était principalement consacré à l’European and North American, on lui fit l’insigne honneur de donner son nom, en 1868, à une locomotive
 
Whelan au cours d’une réunion publique et contre sa nomination « inopportune » comme juge de paix. Bien que le gouverneur eût décidé de ne pas biffer le nom de Whelan de la liste des
 
étaient accusés « d’injustice, de cruauté et de rapacité ». L’auteur, Thomas Gardner, de Fredericton, ne mentionnait toutefois pas de noms. Comme cet article avait été publié à une époque de
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