qui devait porter son nom. Deux ans plus tard, une expédition de Kiskakons, comprenant 30 canots, alla exhumer ses restes qu’elle transféra en grande pompe à Saint-Ignace
MARSH (March), JOHN, gouverneur de la Hudson’s Bay Company, dans la baie du même nom, décédé en 1688/1689
qu’il fît partie d’une organisation clandestine : ces noms étaient employés pour masquer l’identité des déserteurs, ou celle des membres d’une organisation illégale au cas où ses documents seraient
1646. Il avait reçu au baptême le nom de Nesmes, qu’il changea en Énemond en se faisant religieux.
Après son noviciat, il enseigna au collège de Tournon
Temple ; elle s’établit à Port-Royal ; plus tard, elle aurait émigré à Boston, laissant en Acadie Pierre et Charles, les seuls membres de la famille dont l’histoire a retenu les noms
Français. Tous reçoivent de nouveaux noms inspirés de ceux de la famille royale ou de catholiques illustres. Membertou devient Henri. Sa femme et sa fille, dont on ignore les noms usuels, sont prénommées
Salle prit solennellement possession de toute la « Louisianne » au nom du roi de France et planta une croix bénite par le père Membré. Fier de son succès, La Salle pria le récollet de se
, N.-É.) en 1650. D’Aulnay était de famille d’une très ancienne noblesse, originaire du Perche. Il doit son second nom à la seigneurie d’Aulnay, près de Loudun, que lui légua sa mère
. Souart, supérieur du séminaire de Saint-Sulpice, elle était venue au pays avec la recrue de 1659. En mai 1664, elle avait reçu la concession d’un arrière-fief, connu plus tard sous le nom de
autres tribus à rechercher son aide pour l’élection de leurs chefs et à passer ainsi graduellement sous la domination des Français. Miristou changea alors son nom pour celui de Mahigan Aticq, ou de Mahigan
Pobomcoup resta à la famille jusqu’à la dispersion des Acadiens ; et, après plus de trois siècles, on compte encore à Pubnico une centaine de familles du même nom
[Guyart], mais également désigné sous les noms de Dumons et de de Mons, commissaire royal en Nouvelle-France (1662
le récit manuscrit des premiers miracles opérés au sanctuaire de Sainte-Anne. La paroisse de Saint-Thomas de Montmagny doit son nom à l’abbé Morel, qui la desservit plusieurs années. En 1675, lors
erreur, il fait voile vers le Sud jusqu’à ce qu’il soit certain d’avoir atteint le détroit. Munk donne le nom de « Fretun Christian » au détroit d’Hudson. Il longe la côte nord du détroit entre
, Negabamat, le premier néophyte d’importance de la colonie, se présenta au baptême à Québec le 8 décembre 1638. Il prit le nom de Noël en l’honneur de M. de Sillery. Son épouse choisit de
. Aucun de ces auteurs n’a donné à ce moine le nom de Nicholas de Lynne, mais la plupart des historiens subséquents ont mentionné ce nom. Cependant, ce n’est que ces toutes dernières années que
en rapport avec les Népissingues qui vivaient sur les bords du lac du même nom. Ces derniers occupaient chaque année une place plus importante dans le commerce des fourrures, se posant en
OIONHATON, baptisée Thérèse, jeune Huronne connue surtout sous son nom chrétien, nièce (ou fille, d’après Du
négociations de paix difficiles qui se déroulèrent entre les Français et les Iroquois de 1653 à 1667, c’est-à-dire au cours des années critiques consécutives à la destruction de la Huronie en 1649. Le nom
Sainte-Croix pendant l’hiver de 1604–1605 par un des tailleurs de pierre de de Monts. Connue sous le nom de « médaillon d’Utopia », cette plaque est conservée au musée du Nouveau-Brunswick, à