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Des Chatelets achetait, au nom de son frère, le fief de Saint-Michel, propriété de M. de Puiseaux, et, le 18
 
. Kiotseaeton était un orateur célèbre chez les Agniers ; il était avant tout un orateur professionnel pour les chefs du conseil, son rôle étant de parler en leur nom, et non pour lui-même ; il était
pour répondre à l’accusation d’avoir retenu des droits perçus au nom du gouvernement. Sa propriété fut administrée par des commissaires, dont
 
. Il ne semble pas avoir laissé de descendants, puisque son nom ne figure pas dans une pétition présentée en 1683 pour réclamer une indemnité en faveur des héritiers des frères Kirke pour les pertes
 
Labrador. Le nom de Knight apparaît pour la première fois en 1605, alors qu’il était capitaine de la pinasse Marekatten ou Katten (Chat
 
, pour le compte des Bretons, la pêcherie de morses aux îles de la Madeleine, connues sous le nom de la Ramée (Ramea) ; circa 1591
 
fourrures qu’il possédait dans l’île qui porte son nom, il y nomma Brucy. Associé de Perrot, Brucy servit d’intermédiaire auprès de certains coureurs de bois et favorisa l’ambition du gouverneur en faisant le
 
Gagnon, Noms propres au Canada-Français [...], BRH, XV (1909) : 55.— Les La Mothe du Régime français, BRH, XL (1934) : 49–54.— Charles de La Roncière, Le Père de la
canadienne le nom de France-Roy et au fleuve celui de France-Prime en l’honneur de François Ier. Un fort fut érigé et André
 
LA TOURASSE, CHARLES (connu aussi sous le nom de Chevalier), sergent de la garnison française de
 
. Son nom reste attaché à la résidence centrale des missionnaires : Sainte-Marie-des-Hurons. Commencé en 1639, ce premier établissement important des pays d’en haut s’est développé au rythme même de
 
). Au printemps de 1666, il reçut mission d’ériger le fort Sainte-Anne dans l’île qui à gardé son nom (Lamotte), à l’entrée du lac Champlain. C’est de là que les troupes de MM. de
 
ce qu’il y avait de Français, et d’une multitude de Sauvages. Il fut appelé Frère Charles, du nom de notre premier père syndic », Charles de Boves
 
Lanouguère, conseiller du roi en l’élection d’État, et de Jeanne de Samalins, décédé à Québec en 1678. Il signait Lanouguère, nom qui, chez ses descendants
son fils aîné, François, il octroya une étendue de pays allant de la rivière des Iroquois (Richelieu) jusqu’au Châteauguay moderne. Puis, se servant de prête-noms, il obtint pour lui-même l’île de
 
Tadoussac, avec plein pouvoir pour régler en son nom les démêlés entre François Gravé Du Pont et
 
Sainte-Anne au nom de Mme d’Aulnay, car Denys et son frère furent faits prisonniers et envoyés à Québec en octobre. Les capucins de Port-Royal persuadèrent la veuve d’envoyer en France son intendant, Brice
 
chez les Attignaouantans (nation de l’Ours) « pour apprendre leur langue [...] et annoncer le nom de Dieu à ces sauvages ». Après un voyage dont
 
premier novice et le premier profès de cette province, comme il nous l’apprend lui-même. Il reçut le nom de Chrestien à sa prise d’habit. Deux membres de sa parenté firent partie du même ordre et le
 
Acadie. Parti de Honfleur le 12 mars 1613, ce dernier atterrit, le 16 mai, à La Hève et y prit possession de toute la côte américaine au nom de la marquise, Port-Royal seul excepté. Il
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