fragmentaires. Au cours de la troisième session (février–mars 1814), Dickson s’absenta une partie du temps et son nom est à peine mentionné dans le journal des débats de l’Assemblée. Il se fit beaucoup remarquer
en 1849, au St John’s Orphan Asylum de Philadelphie, et prit le nom de Mary Bernard. Elle allait prononcer ses vœux perpétuels le 19 mars 1852, à l’âge de 23 ans, à la cathédrale St Michael
femme de Doucett résidait avec lui en Nouvelle-Écosse, mais son nom nous est inconnu. En 1721, ils avaient six enfants. En 1723, Isabella et Honoria Doucett, tantes et tutrices de quatre des enfants de
magistrat et notaire, postes qu’il conserva le reste de sa vie. La tradition veut que Dougall soit responsable du choix du nom de Windsor donné à la localité de Sandwich en 1836
souper. Soucieux de l’économie des fonds publics, il a une conduite irréprochable dans les nombreuses transactions effectuées au nom du gouvernement britannique pour l’achat des terrains nécessaires au
de visiter les établissements de l’arrière-pays ; son nom est surtout associé à l’ordination de ministres et à la fondation de nouvelles congrégations. En 1823, il avait quitté Granville pour un
.
Le 4 mai 1791, Eliza, qui commandait alors le San Carlos et un petit schooner reconstruit à Nootka et baptisé Santa Saturnina, du nom de sa femme, mit les voiles pour un
English, aussi connu sous le nom de Doc English, était parmi les innombrables Américains qui, attirés par les possibilités que présentait la ruée vers l’or à la fin des années 1850 et au début des années
ESSON, HENRY (baptisé sous le nom de Hary Easson), ministre presbytérien, éducateur et auteur, baptisé le 7 mars
. Son nom figura aussi dans le vocable scientifique du mouton mantelé, Ovis fannini, mais on ne reconnaît plus cette désignation comme une espèce en soi ; on croit plutôt que c’est
avant d’ouvrir un magasin en 1860 à MacEwen’s Wharf (près de New Dominion), sur la rivière West. En 1887, cette entreprise, mise sur pied par Farquharson et un associé du nom de Theophilus Stewart
-être avait-il changé de nom et s’était-il inventé un passé. Les renseignements publiés à son sujet de son vivant, parfois par des gens qui le connaissaient bien, présentent de grandes divergences. Tantôt
Morgan*, « en posture de cultiver ses grands dons innés pour la scène ». On présume qu’elle recevait de l’argent pour sa formation et sa subsistance. À l’âge de 19 ans, elle prit le nom de
FONSECA, WILLIAM GOMEZ (connu jusque vers 1840 sous le nom de don Derigo Nojada Gomez da Silva Fonseca
en 1864 sous le pseudonyme « A Nova Scotian », manifestement en raison de sa réticence, comme femme, à publier sous son propre nom. L’ouvrage s’adressait aux jeunes et offrait « une
témoigne de son importance. Dès 1805, on connaissait la société sous le nom de Robert Dickson and Company.
La concurrence de plus en plus vive des
population de Skidegate et des autres villages qu’ils traversèrent. Fait particulièrement révélateur de cette relation : au moins un des enfants Freeman nés à Skidegate reçut son nom des Haïdas
Molson* et propriétaire de la brasserie du même nom. Ils vécurent à Piedmont, que son père avait laissé à Louisa à son décès en 1870. Tant avant qu’après son mariage, elle s’occupa d’organismes de
loi du Nouveau-Brunswick, sous le nom de Ganong Brothers Limited. En 1916, la compagnie provinciale fut liquidée, mais l’entreprise continua de fonctionner avec une charte fédérale et conserva le même
, membre à part entière de l’entreprise, qui prend alors le nom de P. Garneau, Fils et Compagnie. Garneau acquiert graduellement expérience et responsabilité dans la gestion de la firme. À l’accession