du futur fort William Henry (connu également sous le nom de fort George, l’actuel Lake George, N.Y.), à 14 milles au nord-ouest de sa première base, le fort Edward, situé sur le fleuve Hudson. Dieskau
son nom apparaît sur la liste des greffiers de la juridiction royale de Montréal. Durant les années suivantes, il eut l’occasion d’exercer la charge de greffier intérimaire jusqu’en 1728. Il est fort
français des pays d’en haut. Le supérieur de cette mission est grand vicaire de Pontbriand et envoie, au nom de l’évêque, des missionnaires où le besoin s’en fait sentir [V. Jean-Baptiste
procurer l’occasion d’acquérir de l’expérience et de prouver qu’il était digne du nom qu’il portait. Des six mois que dura la mission, deux mois et demi furent passés à Québec, mais on ne ramena que quelques
Dupuy, en 1728, et qu’un certain jésuite Cabrara leur aurait servi cette remontrance. Le nom de ce jésuite ne figure sur aucune liste de jésuites en
Duplessis ; une esclave portant le même nom fit sa première communion à Montréal le 13 juin 1767. Il est plus plausible de croire qu’après l’ordonnance de l’intendant l’esclave, qui avait
mois ; il se plie aux exigences du gouverneur et, sur les entrefaites, il se rend à Louisbourg, île Royale (île du Cap-Breton), demander, au nom des Acadiens, les conseils de Saint-Ovide [Monbeton
Durell, procureur général de l’île, et d’Elizabeth Corbet ; il épousa sa cousine germaine Madeline Saumarez, puis une dame de Bristol du nom de Skey, et, en troisièmes noces, la veuve du capitaine
Angers, France, fils de Joseph Durocher, tailleur d’habits, et de Marguerite Le Roy, décédé avant le 15 septembre 1756.
Le nom de
ELLIOT (Elliott), ROBERT, officier, né probablement vers 1715, marié (le nom de son épouse reste inconnu), circa 1740–1765
l’aîné et le mieux rémunéré des deux. Les deux chirurgiens se divisèrent le territoire, et il en fut ainsi jusqu’à la mort d’Erad en 1757. Celui-ci fut remplacé par un jeune chirurgien du nom de John
possession du sol au nom du roi George III. Nisbet’s Harbour était vraisemblablement situé dans la région de l’actuel Hopedale, à environ dix lieues au sud de l’inlet de Davis
plans et surveilla la construction du fort William Henry (également connu sous le nom de fort George) à la tête du lac Saint-Sacrement. Il commanda avec succès, en mars 1757, la garnison de 500 hommes
.
Peter N. Moogk
Comme Forestier utilisait le prénom Antoine plutôt que son nom de baptême, on l’a confondu souvent avec son
. Débarqué à la baie des Esquimaux, qu’il rebaptisa baie Saint-Louis, le 11 juillet, il en prit possession, écrivit-il, « au nom du Roy, et de la nation française ». En fait, en 1740, l’intendant
. Il en sort deux ans plus tard et poursuit ses études au collège des jésuites. Vers 1719, il fait profession chez les récollets de Québec, sous le nom de frère Simon, et, le 18 décembre 1723
. On trouve dans les greffes de notaires des contrats établis à son nom dont la valeur se monte jusqu’à 9 500#. Il achetait sa marchandise à La Rochelle et, en 1734, Jean Butler, négociant de
d’hommes, tous engagés par l’intendant Jean Bochart* de Champigny au nom du roi. L’année suivante, Gastineau était engagé avec son frère
utilisés en pharmacie et confiserie. Par la suite naîtra un petit vocabulaire chimique et botanique dérivé du nom de Gaultier. Nous avons relevé : Gaulnettya, Gaulteria, gaulthérase
GAULTIER DE VARENNES ET DE LA VÉRENDRYE, PIERRE (il porta également le nom de Boumois et il signait