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DENISON, GEORGE TAYLOR (parfois connu sous les noms de George T. Denison fils, George T. Denison II ou George
 
), qui fut concédé sous le nom de Horton le 21 mai. Le Conseil devait assurer le transport des colons et de leurs bestiaux, du matériel agricole et des ménages et aussi fournir du blé aux
. En fait, rien n’allait plus pour Denny. Son nom figure plusieurs fois dans les archives judiciaires de 1885 à 1894, surtout pour des affaires liées à la consommation d’alcool. Les plus graves
public nouveau et plus nombreux et modifia le ton des reportages. Le Telegraph, qui avait été fondé en 1855 et tenait son nom de la nouvelle invention grâce à laquelle la transmission des
 
sources documentaires relatives à Richard Denys pour cette période se rapportent à l’autorité qu’il exerça au nom de son père. Les droits ou la juridiction de Denys, père, ne furent pas toujours respectés
 
Gamard. Denys est le premier marin français dont le nom nous soit connu, après les expéditions anonymes des Bretons au Nouveau Monde dès 1504. Il est
 
nom de Joseph, sans doute en mémoire du patron que les Récollets de 1615 avaient donné au pays. L’année suivante, soit er 1678, le père Valentin
, désigné sous le nom de Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale au tournant du xxie siècle, est le premier du genre en Amérique du Nord et sera le
 
l’Île-d’Orléans, au nom d’un groupe de membres de la Compagnie des Cent-Associés. À partir de 1639, il s’intéressa particulièrement à l’établissement de Sillery où les Jésuites, sous l’impulsion de M
 
. Charlevoix* et plusieurs autres après lui l’ont cru membre de la famille Robinau. Mais lui-même décline son nom et ses titres en plusieurs documents, établissant ainsi sa véritable identité. Quelques
 ; P-417/11, nº 1037; 13, nos 1113, 1141.— APC, MG 24, B2, 17–21.— BVM-G, Fonds Ægidius Fauteux, notes compilées par Ægidius Fauteux sur les patriotes de 1837–1838 dont les noms commencent par
d’accord anglo-français qui aurait autorisé la flotte de grande pêche française à se procurer de l’appât sur la côte sud de la colonie. Le gouvernement parlait au nom des marchands, qui étaient
loge franc-maçonne L’Émancipation de Montréal ; les noms de quelques membres de cette société secrète seront rendus publics en 1910. En 1902, en compagnie de Godfroy
les liaient l’un à l’autre, mais il y a quelques indications que ce fut une association tendue. Leurs noms apparaissaient côte à côte sur de nombreux documents gouvernementaux, de 1831 à 1842, et en
somme de 1,50 $ par année, cette publication paraissait encore en 1984, malgré de nombreux changements de propriétaire et de nom. En même temps, Desbarats crut le moment venu de créer une autre
associé de Desbarats ; une entente officialisa alors un accord remontant au 23 octobre 1799. Toutefois, le nom de Neilson, déjà propriétaire d’une imprimerie, n’apparut jamais publiquement
 
fait que son nom ne figure plus aux registres après cette date est peut-être lié à la réintégration, en octobre, de Phillips Callbeck* et de
 ; décédé le 9 janvier 1797 à Raffetot (près de Rouen, France). Charles Deschamps de Boishébert entra tôt dans la carrière des armes. Son nom
 
le nom de « Jean Baptiste Maison Basse, orfèvre » âgé de 49 ans et habitant rue Sous-le-Fort. D’autre part, dans un document daté du 6 octobre 1745, l’épouse de l’artiste est
 
 1892 à Saint-Épiphane, Québec. Le jeune Georges-Honoré figure au recensement de 1851 sans nom de famille. En 1861, il porte le nom de son père adoptif
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