Ontario), dans le pays huron, le 9 juillet 1648. Elle était dirigée par un Indien du nom de Soines, né Huron, mais naturalisé Onontagué. Les négociations alternèrent entre le pays des Hurons et
appartenait à une famille de très ancienne noblesse anjevine. Son aïeul paternel, Gaston d’Andigné, avait acquis (avant 1565) la terre de Grandfontaine, dont ses descendants prirent aussi le nom. Cadet de
fief de Vincelotte, dans la paroisse actuelle de Cap-Saint-Ignace. Son fils Charles-Joseph* hérita du fief et en prit le nom
AMANTACHA, baptisé sous le nom de Louis de Sainte-Foi, Huron éduqué en France, plus tard ami et aide des
.
Quand, en 1671, Daumont de Saint-Lusson prit possession des régions de l’Ouest, au nom du
se faire une renommée en détournant vers une colonie qui porterait le nom de l’Écosse le flot constant de ses jeunes compatriotes qui alimentait les guerres continentales
à destination de Québec, où le Journal des Jésuites note son arrivée le 23 août. Un mois après être débarqué à Québec, il partait pour Ville-Marie où son nom apparaissait, l’année suivante
suivantes, à agrandir et embellir son domaine. « Le nom de Coulonge, écrit Gagnon, était pour lui à la fois un nom de terre et un nom de famille. Louis d’Ailleboust est appelé « sieur de Coulonge
[Le Roy*] lui donne un nom). Il appartient à l’histoire pour le rôle qu’il joua pendant la période de 1663 à 1666, alors que les Iroquois se préparaient à conclure la paix avec les Français à