, Charles Legardeur de Tilly. Il faisait donc partie du groupe de Normands et de représentants de la petite noblesse qui arrivèrent avec Montmagny. Le nom de Repentigny lui serait venu d’un fief
. À l’arrivée même des sœurs en 1639, il leur fit de ses mains un matelas de branches. À la demande du supérieur des Jésuites, il fut le chapelain des religieuses ; en leur nom, il prit
Chaumonot parlait mieux que lui le huron et l’algonquin. Les Hurons l’avaient surnommé Ouane. Pendant la période iroquoise de sa vie, il s’appelait Ondessonk, nom qui avait été celui de Jogues
Duchesneau, se rendant à sa requête, étendit encore la profondeur de sa seigneurie de Longueuil et Le Moyne réunit tous ses fiefs sous le nom de Longueuil
consentirent et brûlèrent, le 14 juin 1649, leur résidence de Sainte-Marie. Ils en reconstruisirent une semblable, du même nom, dans l’île. Malgré la prévoyance administrative du père Le Mercier
parfaitement gravée dessus » et qu’en le voyant on pouvait reconnaître Aaouandio (nom iroquois de Le Maistre). Ayant entendu cette histoire
est mort hors de France, son nom n’en sera pas moins glorieux à la Postérité ». C’est lui qui préside la cérémonie par laquelle
Letardif, commis général ; à son inhumation, nous le trouvons porteur du nom de famille du jésuite Paul Le Jeune
: son nom se trouvait parmi ceux des meilleurs marins de la marine royale.
En 1673, La Barre commandait un des navires de l’escadre de l’amiral
Acadie. Parti de Honfleur le 12 mars 1613, ce dernier atterrit, le 16 mai, à La Hève et y prit possession de toute la côte américaine au nom de la marquise, Port-Royal seul excepté. Il
premier novice et le premier profès de cette province, comme il nous l’apprend lui-même. Il reçut le nom de Chrestien à sa prise d’habit. Deux membres de sa parenté firent partie du même ordre et le
chez les Attignaouantans (nation de l’Ours) « pour apprendre leur langue [...] et annoncer le nom de Dieu à ces sauvages ». Après un voyage dont
Sainte-Anne au nom de Mme d’Aulnay, car Denys et son frère furent faits prisonniers et envoyés à Québec en octobre. Les capucins de Port-Royal persuadèrent la veuve d’envoyer en France son intendant, Brice
Tadoussac, avec plein pouvoir pour régler en son nom les démêlés entre François Gravé Du Pont et
son fils aîné, François, il octroya une étendue de pays allant de la rivière des Iroquois (Richelieu) jusqu’au Châteauguay moderne. Puis, se servant de prête-noms, il obtint pour lui-même l’île de
Lanouguère, conseiller du roi en l’élection d’État, et de Jeanne de Samalins, décédé à Québec en 1678.
Il signait Lanouguère, nom qui, chez ses descendants
ce qu’il y avait de Français, et d’une multitude de Sauvages. Il fut appelé Frère Charles, du nom de notre premier père syndic », Charles de Boves
).
Au printemps de 1666, il reçut mission d’ériger le fort Sainte-Anne dans l’île qui à gardé son nom (Lamotte), à l’entrée du lac Champlain. C’est de là que les troupes de MM. de
.
Son nom reste attaché à la résidence centrale des missionnaires : Sainte-Marie-des-Hurons. Commencé en 1639, ce premier établissement important des pays d’en haut s’est développé au rythme même de
LA TOURASSE, CHARLES (connu aussi sous le nom de Chevalier), sergent de la garnison française de