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. Cochrane appuyait vigoureusement le gouvernement de sir John Alexander Macdonald*. Par exemple, en 1886, il fit valoir aux Communes les
 
Macdonald* à une élection qui allait opposer celui-ci à Oliver Mowat. Lavell demeura probablement un fervent
combien les libéraux-conservateurs dépendaient d’eux. Aussi sa loyauté était-elle ambiguë et jamais assurée. John Alexander Macdonald
Macdonald*, qui avait appuyé la poursuite de tout son poids. En 1876, dans une affaire issue du scandale du Pacifique et d’allégations partisanes de fraude électorale, il affirma, mais en vain, que le
 
, 1938 ; nouv. éd., introd. de Clara Thomas, Toronto, 1975).— Catherine Macdonald, « James Robertson and Presbyterian Church extension in Manitoba and the north west, 1866–1902
. » L’année suivante, à titre d’ami et de conseiller juridique du premier ministre du pays, sir John Alexander Macdonald*, Strong accepta de
Macdonald*, le magnat du tabac, qui avait déjà financé des programmes d’enseignement, surtout dans le secteur des arts mécaniques. Désormais, il pouvait compter sur la collaboration de Mme Hoodless, selon
Macdonald*, le nomma en novembre 1870. Pendant la session parlementaire de 1871, il démissionna brusquement du Conseil législatif, mais pour une autre raison : il refusait d’approuver le projet de
. Le gouvernement fédéral du conservateur sir John Alexander Macdonald* ayant refusé de reconnaître la loi par laquelle le premier
procureur général John Alexander Macdonald* le nomma à une commission qui devait réviser et refondre les lois du Haut-Canada [V. sir James
Macdonald*, important grossiste torontois et méthodiste comme lui. (Eaton s’était converti au méthodisme en 1858.) Toutefois, St Marys comptait déjà beaucoup de magasins généraux et son potentiel de
maître était plus étonnante encore : il s’agissait de John Sandfield Macdonald*, premier ministre et procureur général de la
Macdonald* commença à soupçonner Walsh de manquer d’enthousiasme pour persuader les Sioux de retourner chez eux, puis de travailler activement à empêcher leur départ. Walsh fut muté au fort Qu’Appelle
Macdonald*, le 21 mars, avant le vote, montre dans quel dilemme il était : « Si j’appuie le gouvernement [et me prononce] contre [...] la motion [...] je me trouverai dans une position très
 
. Après avoir demandé en vain quelques faveurs, Boyle finit par avoir l’oreille du premier ministre du pays, sir John Alexander Macdonald
 
Politique nationale de sir John Alexander Macdonald* engendrèrent dans la province, entre autres un exode de jeunes insulaires vers les
, James Livingston, de la localité voisine de Baden. Le 12 janvier 1887, le premier ministre sir John Alexander Macdonald
Macdonald* et de son successeur au poste de premier ministre, Rodmond Palen Roblin*, il fut réélu en 1903 et en 1907. C’était un
* à la présidence du Sénat. Caron occupera ce siège jusqu’en 1891. Le 5 novembre 1873, le cabinet de John Alexander Macdonald
Toronto Margaret Josephine Macdonald, fille de Donald Alexander Macdonald* (Sandfield), lieutenant-gouverneur de l’Ontario, et ils
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