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ces charges jusqu’en 1665 au moins, car, jusqu’en 1670, on ne lui connaît pas d’autre ministère que celui de vicaire à la cathédrale. Il desservit ensuite Champlain, Neuville (Pointe-aux-Trembles
 
Jean-Baptiste Hertel de Rouville dont relevait le sieur de Batilly. Partie de Montréal, la troupe gagna le lac Champlain puis franchit les Alléganys pour tomber, dans la nuit du 28
 
d’arbitre dans des contestations. Ces divers emplois étaient loin de l’enrichir et, pour éviter la visite d’un collègue huissier, il dut vendre en 1680 le seul bien qui lui restait, une concession à Champlain
 
. Il épousa Marie-Marguerite Chorel de Saint-Romain, dit d’Orvilliers, à Champlain, le 27 janvier 1695. Il fut inhumé le 29 juillet 1709, à Montréal
 
Jérémie* veuve de Jacques Aubuchon. Il s’était ensuite établi à Québec, où il se trouvait en 1690. Il y possédait une maison, rue de la Fontaine Champlain, voisine de celle de Louis
 
-Rivières en 1654, fils de Pierre Lefebvre et de Jeanne Aunois, inhumé au même endroit le 21 octobre 1708. Le 3 novembre 1683 il épousa Catherine Trottier, de Champlain, dont il eut
 
-Baptiste alla vivre à Trois-Rivières, où il épousa Marguerite Pepin, de Champlain, le 10 novembre 1704. Leclerc habitait la basse ville ; il exerçait les métiers de menuisier, de charpentier
 
*, Champlain*, Sagard*, Du Creux] si obscurs que j’ay pensé que je rendrois quelques service au public si je developpois ce qui s’est passé
 
-bourgeois à Bécancour, Champlain et Montréal, né dans la paroisse de Pouzauges, dans le Poitou, en 1654, mort à Montréal en 1715. Le Conte Dupré était
habitants ; quelques centaines de colons étaient établis à Trois-Rivières ou dans les seigneuries voisines du Cap-de-la-Madeleine, de Sainte-Anne et de Champlain, qui commençaient à peine à se développer
 
Champlain et est nommé notaire seigneurial puis, en 1673, juge au même endroit. Il est aussi qualifié dans quelques actes « juge prévost » de la seigneurie de Batiscan. Ces fonctions d’homme de loi
 
à Québec, Détroit, Champlain et Pointe-aux-Trembles (Montréal), fils d’Antoine Lamarre et de Marguerite Levasseur de Saint-Michel-le-Palus, paroisse d’Angers (Maine-et-Loire), mort en septembre 1740 à
 
d’établir un poste à la Pointe-de-la-Couronne, au lac Champlain. À l’automne de cette même année, Beauharnois vantait l’officier, le disant un homme excellent, actif, vigilant et aimant le service. Mais son
 
Champlain où vivaient alors ses parents après avoir demeuré à Batiscan, elle épousa Jacques Aubuchon, dont elle eut une fille. En 1688, elle se remaria, à Batiscan, à Michel
 
-la-Chevelure, sur le lac Champlain, un fort ceinturé d’une palissade qu’on nommera plus tard fort Saint-Frédéric ; Moncours y prit le commandement de la garnison. Il eut le malheur de perdre une
 
s’attacher les services d’un gérant, Pierre Normandin, pour s’occuper de ses affaires à Montréal, Trois-Rivières, Batiscan et Champlain. Hazeur était devenu
 
en 1697 et assuma la tâche supplémentaire de desservir les missions de Batiscan et de Champlain. Il devint curé de Contrecœur en 1703 et exerça son ministère à Sorel en 1703 et 1704. On
 Vérendrye and His Sons, L. J. Burpee, édit. (« Champlain Society », 1927).— Lettres du père Aulneau, RAPQ, 1926–27 : 290.— Wis. State Hist. Soc
 
DUPRÉ, FRANÇOIS, prêtre agrégé du séminaire de Québec, premier curé de Champlain, second curé de Québec, né, vers 1648 en France, décédé
 
.— Journals and letters of Pierre Gaultier de La Vérendrye and His Sons, L. J. Burpee, édit. (Champlain Society, 1927).— Lettres du père Aulneau, RAPQ, 1926–27 : 290
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