1734 – six lieues carrées sur le lac Champlain – retourna à la couronne après sept ans parce qu’il ne l’avait pas exploitée. La Perrière

d’enseigne et un poste de commandant aux îles de la Madeleine où il servit durant deux ans. En 1724, il fut envoyé au lac Champlain à la tête d’un détachement, en vue d’y empêcher la contrebande

. C’est ainsi qu’il travailla à Lachenaie, Boucherville, La Pérade, Batiscan, L’Assomption, Berthier-en-Haut (Berthierville), Champlain et Pointe-aux-Trembles (Neuville

recommandations. Il réussit à convaincre le ministre de construire le fort Saint-Frédéric (Crown Point, N.Y.) aux sources du lac Champlain, après avoir appris que

le fort Saint-Jean destiné à doubler le fort Saint-Frédéric (Crown Point, N.Y.) et à faciliter la colonisation de la région du lac Champlain, entreprise au printemps de 1748 sous la direction de

, dit Laciseraye, qui lui donnera 19 enfants ; au mois de mai suivant, il s’installe à Champlain, près de Trois-Rivières. Il y demeure plus d’un an puisqu’il fait baptiser son premier enfant dans

, avait de nouveau conduit les renforts de l’armée de terre jusqu’au bord du lac Champlain. Ce fut pour lui un rude coup que la nouvelle du désastre ainsi que l’ordre de surseoir à l’attaque sur Montréal

 Vachon poursuivre en la Prévôté de Trois-Rivières son confrère Pierre Hazeur* de L’Orme, curé de la paroisse de Champlain. Tous deux

fiscal et greffier. Il sera aussi notaire et, à son premier acte connu, celui du 19 mars 1687, il s’intitule « notaire royal et garde-notes au Cap-de-la-Madeleine, Champlain, Batiscan et

dans la péninsule du Niagara ; au sud du lac Ontario, la région qui s’étend vers l’est jusqu’au lac Champlain était le domaine des Cinq-Nations, qui comprenaient, d’est en ouest, les Agniers, les

de s’établir au Canada et demeura environ deux ans à Champlain, chez le seigneur de l’endroit, François Chorel de Saint-Romain, dit d’Orvillers, en compagnie de Thomas

presque, se trouvait Montréal. Un pays sauvage impénétrable séparait les deux endroits, mais une voie navigable presque ininterrompue les reliait, passant par la rivière Richelieu, le lac Champlain, le lac

[Prouville*] contre les Iroquois, en 1666. Le 8 janvier 1668, à Champlain, il épousa Marie Mullois, fille de Thomas Mullois ; ils

], il participe, quelques années après (1709), à la défense du pays contre Nicholson qui attaque par la voie du lac Champlain

, Bégon* écrit qu’ « il remplit bien ses fonctions et avec capacité ». À sa mort, il laisse deux propriétés à Montréal et un fief appelé La Moinaudière sur le lac Champlain

, il remplace le curé de Trois-Rivières, M. de Bruslon. D’octobre 1687 à novembre 1688, il remplit les fonctions curiales à Champlain, près de Trois-Rivières. Le 11 décembre 1688, il

Pierre Rémy, de Lachine, portait plainte contre lui pour injures et menaces à sa personne ; pis, en 1707, Pottier se livra à des voies de fait sur une dame Carpentier, de Champlain, et fut

mariage avec Madeleine, fille d’Ildebon Raclot et de Marie Viennot. Tout en continuant à s’intéresser à la traite des fourrures, il s’établit à Champlain et, le 2 décembre 1677, il va demeurer à

civil de Saint-François-Xavier de Batiscan.—Jug. et délib., IV, V, VI.— Cloutier, Histoire de la paroisse de Champlain, I.— J.-E. Roy, Histoire du notariat, I

inférieure du lac Champlain d’où, avec l’aide des Iroquois, il pouvait menacer Montréal et ainsi détourner les effectifs de défense de Québec. Le gouverneur de la Nouvelle-France