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ROSS, sir JAMES CLARK, explorateur, né le 15 avril 1800, peut-être en Écosse, troisième fils de George Ross et de Christian Clark, décédé le 3 avril 1862 à Aylesbury, Angleterre.

Le père de James Clark Ross, homme d’affaires londonien, était issu d’une éminente famille du Wigtownshire. Sir John Ross*, le célèbre explorateur de l’Arctique, était un de ses frères cadets. C’est sous l’influence de son oncle que s’écoulèrent les premières années de James. Dix jours avant son douzième anniversaire, il suivit le commandant John Ross, alors jeune officier impétueux des guerres napoléoniennes, et entra dans la marine royale pour y faire carrière. Volontaire de première classe sur le Briseis à ses débuts, James Clark fut rapidement promu midshipman et master’s mate sur le même navire grâce aux relations de son oncle John dans la marine. Pendant six ans, Ross fit sans interruption la guerre aux côtés de ce dernier et l’accompagna quand il prit le commandement de l’Actaeon qui devait servir dans la Baltique, la mer Blanche et la Manche, puis du Driver, qui devait patrouiller la côte occidentale de l’Écosse. C’est alors qu’il était à bord du Driver que John Ross fut prié, le 11 décembre 1817, par son ami sir George Hope, premier lord de l’Amirauté, de prendre la tête d’une expédition dans l’Arctique afin de découvrir un passage au nord-ouest entre la baie de Baffin et le détroit de Behring. Cette demande changea la vie du neveu comme de l’oncle ; ils cessaient d’être des officiers de carrière pour devenir explorateurs polaires.

C’est ainsi qu’à 18 ans, James Clark Ross fit connaissance avec l’Arctique ; il fut midshipman sous les ordres de son oncle lors de l’exploration de 1818. L’Isabella et l’Alexander, les deux navires de l’expédition, quittèrent la Tamise en avril ; John Ross avait pour second le lieutenant William Edward Parry*, capitaine du deuxième vaisseau. L’expédition, bien équipée, devait pénétrer dans le détroit de Davis, y faire des observations sur les courants puis voguer vers le nord et l’ouest aussi loin que les glaces le lui permettraient. Après avoir conduit ses navires en suivant la côte occidentale du Groenland, John Ross poursuivit sa route jusqu’à l’extrémité de la baie de Baffin. Il observa l’entrée du détroit de Smith puis, revenant sur la rive ouest de la baie, aperçut également l’entrée du détroit de Jones. Personne n’avait exploré ces parages depuis que William Baffin* les avait baptisés ; les deux entrées étaient encombrées de glaces et Ross estima qu’elles n’avaient pas d’issue. Toutefois, lorsque les navires arrivèrent au large du détroit de Lancaster, le passage était dégagé, et Ross poursuivit sa route vers l’ouest puis crut voir une chaîne de montagnes (qu’il appela Croker’s Mountains) lui barrant la route. Il rebroussa chemin, et, à la mi-novembre, l’Isabella et l’Alexander étaient de retour dans la Tamise. James C. Ross avait joué un grand rôle dans les nombreuses observations scientifiques faites au cours du voyage, en collaboration étroite surtout avec un officier surnuméraire, le capitaine Edward Sabine*.

Le retour rapide de John Ross fut sévèrement critiqué et la controverse née de cette expédition dura des années. Ross ne dirigea plus d’expédition pour le compte du gouvernement, mais l’Amirauté arma immédiatement deux robustes galiotes à bombes, le Hecla et le Griper, pour une autre expédition que devait diriger Parry. James C. Ross fut nommé midshipman sur le Hecla.

Les navires prirent la mer en mai 1819. Après s’être aventuré au nord jusqu’à Sanderson’s Hope sur la côte du Groenland, Parry fit voile vers l’ouest et se fraya la voie jusqu’à l’entrée du détroit de Lancaster. Les navires ne rencontrèrent aucun obstacle dans cette direction et les Croker’s Mountains se révélèrent un mirage. En arrivant à l’inlet qu’il baptisa du nom de Prince-Régent, Parry prit le temps d’y pénétrer sur une distance de 120 milles avant de poursuivre sa route vers l’ouest en passant par le détroit de Barrow. James Ross, cette fois encore, prit activement part aux observations et Parry nomma cap James Ross l’un des promontoires de l’île Melville. Ce remarquable progrès de l’exploration vers l’ouest prit fin au 112° 51´ de longitude, puis Parry regagna un mouillage de l’île Melville.

L’hiver long et froid de 1819–1820 à bord du navire fut égayé par la publication d’un journal nommé la North Georgia Gazette and Winter Chronicle et une série de représentations théâtrales, où Ross et les autres jeunes midshipmen jouaient généralement les rôles féminins. Au printemps, lors de la traversée et de l’arpentage de l’île Melville, Ross goûta pour la première fois du traîneau. Le 1er août, dès que les navires se libérèrent des glaces, l’expédition mit les voiles et, au début de novembre, Parry était de retour à Londres, après avoir effectué l’expédition la plus fructueuse dans l’Arctique au début du xixe siècle car il avait franchi la moitié du passage du Nord-Ouest. C’était le premier hiver que James C. Ross passait dans l’Arctique, mais ce n’était pas le dernier.

Toujours à titre de midshipman, Ross accompagna, en mai 1821, l’expédition suivante de Parry, à bord du Hecla et du Fury, qui se dirigea vers l’ouest en passant par la baie d’Hudson. Il s’occupa tout spécialement de l’arpentage lors de cette expédition qui dura deux hivers, le premier sur l’île Winter, l’autre sur l’île Igloolik, proche de l’extrémité orientale du détroit de Fury et Hecla. Il fit aussi office de naturaliste en capturant des oiseaux, des mammifères, des animaux marins et en recueillant des plantes. Pendant le second hiver, il fit l’acquisition du premier spécimen connu de la magnifique mouette rosée (Ross’s Gull). On fit par terre des relevés topographiques du détroit de Fury et Hecla, et Parry aperçut l’entrée de son extrémité occidentale dans ce qu’on appelle aujourd’hui le golfe de Boothia. L’expédition rentra en Angleterre à l’automne de 1823 et Ross apprit qu’il avait été promu lieutenant le 26 décembre 1822. Il fut élu membre (fellow) de la Linnean Society en récompense de ses travaux de naturaliste.

La troisième expédition de Parry, en 1824–1825, effectuée avec les deux mêmes navires, fut un désastre. Cette fois, Ross était lieutenant en second à bord du Fury, sous les ordres de Henry Parkyns Hoppner. On atteignit le détroit de Davis à la mi juillet mais il fallut tout l’été pour atteindre le détroit de Lancaster en traversant la baie de Baffin et pénétrer dans l’inlet du Prince-Régent ; c’est sur sa rive est que Parry passa l’hiver. Sa santé était chancelante et il s’en remit à l’infatigable Ross pour de nombreux travaux scientifiques. Celui-ci poursuivit ses travaux de taxidermie, calcula l’épaisseur de la glace de mer, prit note des températures, fit des observations magnétiques et lunaires, vérifia les longitudes et fit des excursions sur terre.

À l’été, les navires purent se dégager, et Parry passa du côté occidental de l’inlet. C’est là qu’au pied d’une immense falaise de l’île Somerset le Fury s’échoua, le 1er août, à un endroit connu depuis lors sous le nom de plage de Fury. Parry décida de ne pas affronter les rigueurs d’un nouvel hiver arctique avec son équipage affaibli ; le 12 octobre 1825, il rentrait en Angleterre. À cette époque, James Ross avait passé tous ses étés depuis 1818 dans l’Arctique et hiverné quatre fois.

Ross put jouir d’un été loin de l’Arctique, après quoi il fut nommé commandant en second de l’expédition de Parry qui devait atteindre le pôle Nord, en faisant voile vers le septentrion à partir de Spitzbergen et en tirant sur la glace des barques sur traîneaux, exploit qui devait amorcer la navigation sur la légendaire « haute mer polaire ». C’est encore le Hecla qui fut chargé de cette mission ; il partit le 4 mars 1827. Le 21 juin, les barques quittèrent le navire ; après 100 milles, le long trajet sur la glace commença. L’entreprise se révéla irréalisable. Non seulement les lamentables conditions de voyage entravaient la marche des hommes – le brouillard, la pluie et le soleil ramollissaient la neige de sorte que tirer des traîneaux chargés de 200 livres pour chaque homme était presque impossible – mais, sous leurs pas, les glaces dérivaient vers le sud. Pour dix milles de laborieux halage de traîneaux, ils n’avançaient en fait que de quatre milles. Ils n’atteignirent jamais le 83e parallèle. Parry fut atteint de la cécité des neiges et Ross, coincé entre une barque et un monticule de glace, fut grièvement blessé. Le 26 juillet, s’étant rendu compte qu’il n’avait avancé que d’un mille en cinq jours, Parry rebroussa chemin. Lui et les membres de son expédition avaient légèrement dépassé le 82° 45´ de latitude nord, exploit non dépassé avant 1875, mais ils en étaient quand même restés à 500 milles du pôle Nord. Parry quitta le navire en arrivant aux Orcades et Ross le ramena sur la Tamise le 6 octobre.

James Clark Ross était à ce moment l’officier de la marine royale le plus actif et expérimenté dans le domaine de l’Arctique, Parry ayant quitté son poste pour devenir l’hydrographe de l’Amirauté. C’était un excellent marin, un spécialiste en magnétisme ainsi qu’un bon naturaliste et taxidermiste. Il reçut en récompense un brevet de commandant le 8 novembre 1827, mais sans poste et en demi-solde. En 1829, il était toujours à la demi-solde alors que son oncle, le capitaine John Ross, préparait une expédition financée par des particuliers et qui devait s’engager dans le passage du Nord-Ouest, à bord du vapeur à roues Victory. Celui-ci partit d’Écosse le 13 juin 1829, avec en remorque le bateau annexe Krusenstern. Après une escale prolongée sur la côte occidentale du Groenland, le capitaine Ross franchit la baie de Baffin, pénétra en août dans le détroit de Lancaster, puis dans l’inlet du Prince-Régent. L’épave du Fury se révéla une mine d’approvisionnements de toutes sortes.

À la fin de septembre, l’expédition ne put continuer sa route vers le sud et le Victory fut mis en rade dans un mouillage du nom de Felix Harbour. Pendant l’hiver, James C. Ross fit plusieurs voyages en traîneau pour explorer la côte, voyages qui prouvèrent que Boothia était bien une péninsule comme le leur avaient dit les Esquimaux (Inuit) et non une île comme l’avait espéré John Ross. James traversa ce qu’on appelle actuellement le détroit de James Ross, découvrit et baptisa l’île Matty et le cap Felix. L’endroit le plus à l’ouest qu’il atteignit fut Victory Point, où le littoral tournait. Il nomma cette partie de la côte Terre du Roi-Guillaume, supposant qu’elle se trouvait sur le continent, alors qu’en réalité il s’agissait de l’île du Roi-Guillaume.

Les glaces empêchèrent le retour du Victory à l’été de 1830 ; les explorateurs ne purent le faire avancer que quelques milles au nord de Felix Harbour, vers un mouillage qu’ils appelèrent Sheriff Harbour. Le navire y fut de nouveau mis à l’abri et on érigea un observatoire. La vie à bord, lors du second hiver, fut semblable à celle du premier, mais John Ross s’aperçut qu’il pouvait prémunir ses hommes contre le scorbut en leur faisant suivre le régime des Esquimaux, c’est-à-dire en leur faisant manger beaucoup de graisse. À l’approche du printemps, James Clark Ross reprit ses tournées en traîneau. Il voulait situer la position du pôle magnétique Nord, ce qu’il fit à huit heures du matin le 1er juin 1831. Il y planta le drapeau britannique, prit possession du pôle et des terres adjacentes au nom du roi Guillaume IV et érigea un cairn. On calcula que le pôle magnétique se trouvait à 70° 5´ 17´´ de latitude nord et 96° 46´ 45´´ de longitude ouest (depuis, le pôle s’est déplacé dans les deux directions). Ross regagna le Victory le 13 juin, après une absence de 28 jours.

Cet été-là encore, le navire resta pris dans les glaces et ne put qu’atteindre un nouveau mouillage, appelé Victory Harbour (Victoria Harbour). Au cours des mois interminables de ce troisième hiver, John Ross décida d’abandonner le navire dès que le temps s’adoucirait, de charger des barques et des provisions sur des traîneaux et de regagner la baie de Fury. James C. Ross fut d’un puissant secours dans cette entreprise. L’expédition dut cependant passer un quatrième hiver sur l’inlet du Prince-Régent. Une voie navigable s’ouvrit enfin le 14 août 1833, et, le 26, les membres de l’expédition furent recueillis par une baleinière dans la baie de Baffin. À leur glorieux retour, les Ross, qui avaient passé quatre ans et demi dans l’Arctique, exploit sans précédent, furent reçus par Guillaume IV. James Ross fut affecté au Victory, à Portsmouth, et le 28 octobre 1834 il fut nommé capitaine de vaisseau, promotion qu’il avait bien méritée. Le conseil de la cité de Londres (Common Council) lui vota des remerciements ; il reçut une pièce d’argenterie des souscripteurs de l’Arctic Land Expedition (un des groupes qui s’étaient proposé d’aller à la recherche des Ross s’ils n’étaient pas revenus).

En 1835, à titre d’un des importants spécialistes anglais du magnétisme terrestre, James Clark Ross reçut l’ordre de diriger le premier relevé systématique du magnétisme des îles britanniques. Cette étude dura jusqu’en 1838 ; elle fut interrompue en décembre 1835 lorsque Ross dut prendre le commandement du Cove pour aller à la rescousse de 11 baleinières prises dans le détroit de Davis. Il prit le départ en janvier 1836 mais la plupart des baleinières rentrèrent par leurs propres moyens avant que Ross ne revînt reprendre son étude en août. À ce moment, il avait passé 8 hivers et 15 saisons à naviguer dans l’Arctique, ce qui était un record. On lui offrit le titre de chevalier, en récompense de ses services, mais il le refusa pour une raison ou pour une autre.

Son expérience des mers polaires et ses connaissances en magnétisme en faisaient le candidat tout désigné pour commander une expédition dans l’Antarctique, qui devait étudier le magnétisme dans les latitudes australes extrêmes ; le voyage reçut un appui important de la British Association for the Advancement of Science et de la Royal Society de Londres. Ross partit en septembre 1839 avec deux solides galiotes à bombes, l’Erebus et le Terror, pour l’hémisphère sud où il passa les trois années suivantes à faire des observations géographiques et magnétiques, regagnant la Terre de Van Diemen (Tasmanie) et l’Australie en hiver. Il découvrit la Terre de Victoria, le détroit de McMurdo, la mer de Ross, le grand plateau glacier de Ross et fit d’autres observations de moindre importance qui vinrent compléter la carte de l’Antarctique. Couronnée de succès, l’expédition revint en septembre 1843. Ross accepta alors le titre de chevalier et épousa Ann Coulman le 18 octobre 1843 à Wadworth. Au cours de cinq années de vie familiale à Aylesbury, Ross, qui n’avait pourtant pas la plume facile, écrivit A Voyage of discovery and research in the southern and Antarctic regions during the years 1839–43, un des plus importants ouvrages jamais consacrés à l’Antarctique.

En se mariant, Ross s’était engagé à ne plus entreprendre d’autres expéditions polaires mais, en 1848, sa femme le délia de sa promesse, lorsqu’on lui demanda de diriger la première expédition envoyée à la recherche de sir John Franklin*. Il partit pour ce voyage le 12 mai 1848 à la tête de l’Enterprise et de l’Investigator. Il comptait parmi ses officiers deux des futurs chefs de la génération suivante d’explorateurs de l’Arctique : Robert John Le Mesurier McClure*, qui prouva plus tard l’existence du passage du Nord-Ouest, et Francis Leopold M’Clintock*, qui finit par trouver les restes de l’expédition de Franklin. Ross poussa ses recherches vers le nord dans le détroit de Wellington et fit passer l’hiver (son neuvième et dernier dans l’Arctique) à ses navires à Leopold Harbour, au nord-est de l’île Somerset. De là, il explora les côtes du détroit de Peel, mais ne vit aucune trace de l’expédition de Franklin. En été, ses navires dérivèrent dans la baie de Baffin, furent libérés des glaces en septembre et désarmés à Woolwich le 26 novembre. Si l’expédition avait exploré 150 nouveaux milles de côte inconnue, elle n’avait pas atteint son but principal.

Ross vécut ensuite une vie paisible en compagnie de sa femme et de ses quatre enfants, à Aylesbury. Il fut nommé contre-amiral en 1856. L’année suivante, lady Ross mourut et sir James ne s’en remit jamais. Il décéda le 3 avril 1862, peu avant son 62e anniversaire de naissance.

Ernest S. Dodge

Le PRO, la Royal Geographical Soc. (Londres) et le Scott Polar Research Institute (Cambridge, Angl.) conservent des lettres de James Clark Ross. L’arrière-petite-fille de celui-ci, Mlle Esther Ross, de Londres, en possède aussi quelques-unes, mais il semble que la plupart de ses papiers et journaux aient été brûlés.  [e. s. d.]

J. C. Ross, On the position of the North Magnetic Pole, Royal Soc. of London, Philosophical Trans. (Londres), CXXIV (1834) : 47–52 ; A voyage of discovery and research in the southern and Antarctic regions during the years 1839–13 (2 vol., Londres, 1847).

John Ross, Narrative of a second voyage in search of a north-west passage, and of a residence in the Arctic regions during the years 1829, 1830, 1831, 1832, 1833 [...] including the reports of Commander [...] J. C. Ross, and the discovery of the Northern Magnetic Pole (1re éd., Londres, [1834] ; 2e éd., 1835) ; A voyage of discovery, made under the orders of the Admiralty, in his majesty’s ships Isabella and Alexander, for the purpose of exploring Baffin’s Bay, and inquiring into the probability of a north-west passage (Londres, 1819).— DNB.— E. S. Dodge, The polar Rosses : John and James Clark Ross and their explorations (Londres, 1973).

Bibliographie générale

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Ernest S. Dodge, « ROSS, sir JAMES CLARK », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 9, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 28 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/ross_james_clark_9F.html.

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Auteur de l'article:    Ernest S. Dodge
Titre de l'article:    ROSS, sir JAMES CLARK
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 9
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1977
Année de la révision:    1977
Date de consultation:    28 mars 2024