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Titre original :  Print James Pattison Cockburn William A. Cockburn 1849, 19th century Ink on paper 34.1 x 27.5 cm Gift of Mr. David Ross McCord M369 © McCord Museum Keywords: 

Provenance : Lien

COCKBURN, JAMES PATTISON, officier et aquarelliste, né le 18 mars 1779 à New York, fils du colonel John Cockburn et de Mary Cockburn, fille de sir James Cockburn, colonel ; en 1800, il épousa dans la colonie du Cap (Afrique du Sud) Elizabeth Johanna Vansittart, et ils eurent cinq fils et deux filles ; décédé le 18 mars 1847 à Woolwich (Londres).

James Pattison Cockburn fut élevé dans une famille de militaires. Le 19 mars 1793, il entra comme cadet à la Royal Military Academy de Woolwich où il reçut une formation en dessin dont l’essentiel relevait du premier maître, Paul Sandby. À ces deux années d’apprentissage on peut associer une aquarelle, The Royal Laboratory, Woolwich, dans laquelle Cockburn se montre un fidèle topographe : rigueur de la perspective, finesse et précision du dessin. Quelques figures en mouvement animent la composition et compensent la sécheresse du paysage topographique. Ce sont là des caractéristiques qui marqueront durablement son style.

Cockburn participa, en septembre 1795, à la prise de la colonie du Cap, puis, en 1798, il prit part à l’expédition contre Manille. Rentré en Angleterre depuis 1803, il obtint le grade de capitaine dans l’artillerie le 1er juin 1806. Sa compagnie, d’abord cantonnée à Colchester, fut envoyée en août et septembre 1807 au Danemark où Cockburn participa au siège de Copenhague. Un ensemble de cinq aquatintes en couleurs qui relatent l’opération militaire fut publié, en novembre, d’après ses dessins. Ces premières gravures s’insèrent dans une stricte tradition topographique, héritée du xviie siècle, où le paysage est subordonné à la seule présentation des lieux et des événements. Cockburn fut porté malade du 10 septembre 1807 à la fin de novembre 1808, date à laquelle on le retrouve à Norwich. Les années de garnison dans le Norfolk, jusqu’en novembre 1814, furent calmes, exception faite du siège d’Anvers (Belgique), en août 1809, au cours duquel Cockburn se distingua à la tête d’une flottille, ce qui lui valut de négocier les termes de la capitulation. De cette expédition, il est resté un plan, aquatinte en couleurs gravée d’après ses dessins, qui illustre bien l’enseignement reçu à la Royal Military Academy : travail de cartographe à la manière des Hollandais Pieter Saenredam et Gaspar Van Wittel.

Du 31 juillet au 12 août 1809, Cockburn exposa, à titre de membre honoraire, 17 aquarelles à la Norwich Society of Artists, dont quelques vues de la colonie du Cap et du Bengale. C’est une période vitale dans la formation de l’artiste. Dans le creuset des paysagistes de l’école de Norwich, où s’amalgament influences hollandaises et italiennes, et notamment auprès de John Sell Cotman et John Thirtle – on le dit élève de ce dernier –, sa facture trouve une spontanéité jusqu’alors inconnue. La ligne perd de sa précision au profit de la couleur, étendue largement, où les tons sombres des premiers plans, qui vont des ocres profonds aux olives clairs, s’illuminent vers les lointains. L’attention se porte sur les effets atmosphériques, telles les grandes diagonales des rayons solaires.

Cockburn revint à Colchester en décembre 1814 avec le grade de major honoraire, obtenu le 4 juin de la même année. Il y resta jusqu’au début de 1817. Un carnet de croquis d’août 1815 témoigne de son passage à Woolwich et de ses promenades le long de la Tamise. Par le découpage régulier des espaces, il affirme sa maîtrise de la composition. Ces dessins permettent par ailleurs de découvrir une méthode de travail devant le motif qui s’est peu modifiée par la suite : mine de plomb seule ou reprise à la plume et au lavis d’encre brune ; lavis de sépia monochrome qui, seul, indique les masses et les valeurs lumineuses.

Les guerres napoléoniennes terminées, Cockburn multiplia ses séjours sur le continent européen pour le compte du graveur et éditeur anglais William Bernard Cooke. En mars 1816, en 1817 et 1818, il se trouvait à Naples et à Pompéi, en Italie, où il fit des relevés topographiques des fouilles. Selon le compositeur allemand Ludwig Spohr, auquel il montra plus de 200 paysages de Naples et des environs, Cockburn avait une « extraordinaire habileté à prendre de charmantes vues en quelques minutes ». Déjà s’affirmait le dessinateur infatigable. De 1816 à 1822, que ce soit en Italie, en Suisse ou dans les Alpes, les sépias se multiplient au fil des étapes : les vastes panoramas et les défilés montagneux y côtoient les vues de rues et de places. Une telle richesse ne repose pas uniquement sur la maîtrise des moyens techniques, mais aussi, selon Spohr, sur l’emploi d’une « machine qui reportait le paysage, à échelle réduite, sur le papier ». Il n’est pas certain qu’il s’agisse d’une camera lucida ; toutefois, la franchise d’exécution de plusieurs dessins, contemporains de la remarque de Spohr, soutient favorablement l’hypothèse.

Cockburn arriva au Canada en novembre 1822. Ce séjour fut bref : il repartit le 17 juin 1823, et sa compagnie suivit en août. Il y a donc peu de dessins de ce premier voyage. Une aquarelle intitulée Cape Diamond from below n° 1 tower, datée du 29 octobre 1823, laisse à penser que Cockburn exécuta des études sur le motif qu’il retravailla ensuite à l’atelier, selon sa pratique habituelle. À son retour à Woolwich, on le nomma major de régiment le 29 juillet 1825 et, le même jour, il était promu lieutenant-colonel. Le 5 avril 1826, âgé de 47 ans, il reçut le commandement du Royal Regiment of Artillery au Canada, où il revint en août.

Pendant ces années de paix, Cockburn eut tout le loisir de dessiner Québec et ses environs, comme les paysages du Haut et du Bas-Canada où le conduisirent ses tournées d’inspection. Ainsi voit-on défiler la route, de Québec aux chutes du Niagara. Dans ces dessins de la pleine maturité, sépias et aquarelles, le vocabulaire est bien fixé. L’ordre et la clarté des mises en page reposent sur deux constantes fondamentales : une ordonnance classique du paysage divisé en plans parallèles et une diagonale (rue, trottoir, sentier ou rivière) qui ordonne la composition dès l’avant-plan et conduit directement le regard vers le lointain. Dans les dessins des rues de Québec, Cockburn se montre héritier de Paul Sandby : une lumière légère joue sur une gamme restreinte de couleurs qui riment en tonalités pâles et adoucissent l’esprit analytique de ces aquarelles. S’y ajoute un intérêt très net pour la vie sociale, qu’elle soit solennelle (processions religieuses), quotidienne (coupeurs de glace) ou anecdotique (jours de marché). Ces dessins ne révèlent toutefois qu’un aspect de sa personnalité. C’est en véritable paysagiste, qui sait d’instinct choisir le meilleur point de vue et disposer les masses, que Cockburn regarde la nature canadienne. Il en tire des compositions pittoresques et poétiques, rarement dramatiques et sublimes, sinon dans certaines vues des chutes du Niagara. L’observation minutieuse demeure : stratifications rocheuses, chemins détrempés aux terres lourdes et grasses, reflets lumineux sur la neige et les glaces. En 1831, il fit paraître, anonymement, un petit « guide pittoresque » de la ville de Québec et des environs, illustré de sept gravures. Rien de comparable, toutefois, avec ses publications antérieures. Le 2 août 1832, accompagné de sa famille, il quitta Québec.

Installé a Woolwich, où il possédait une maison, Cockburn devint, le 10 octobre 1838, directeur du Royal Laboratory du Royal Arsenal. Il conserva ce poste jusqu’au 15 novembre 1846, date à laquelle il prit sa retraite avec le grade de major général, qu’on lui avait conféré le 9 novembre. Sa santé se détériora rapidement, et il mourut le 18 mars 1847 à sa résidence de Woolwich.

Cockburn réalisa une œuvre immense. Paradoxalement, elle n’a été étudiée que très superficiellement et reste donc largement à reconstruire. La raison en est simple : le départ est parfois malaisé entre l’esquisse exécutée d’après nature et l’œuvre d’atelier. La première laisse rarement place à l’improvisation et exprime déjà le vocabulaire poétique de l’artiste ; la seconde conserve la fraîcheur de l’impression première tout en étant élaborée dans l’esprit.

Après sa mort, James Pattison Cockburn ne tomba pas entièrement dans l’oubli. En août 1860, la Norfolk and Norwich Fine Arts Association présenta neuf de ses aquarelles dans le cadre d’une exposition en hommage aux « artistes locaux décédés ». Dans le compte rendu du Norwich Mercury, il figure aux côtés des noms fameux de l’école de Norwich et se voit qualifier d’« excellent artiste ». Le temps n’a jamais que transmis l’estime dont Cockburn était déjà l’objet pendant son séjour à Québec. Telle fut certainement l’opinion de Joseph Légaré* qui subit durablement son ascendant. Ses copies littérales et ses emprunts ponctuels, ses imitations de facture et ses pastiches relèvent de l’influence, non de la parenté d’esprit. En cela, Cockburn fut ainsi l’un des rares, sinon le seul Britannique, en ce début du xixe siècle, à imprimer sa vision de la nature sur un paysagiste québécois.

Didier Prioul

James Pattison Cockburn est l’auteur de : Swiss scenery from drawings (Londres, [1820]), illustré de 60 gravures d’après ses dessins. Notons que cet ouvrage fut annoncé comme étant « presque prêt pour la publication » dans Gentleman’s Magazine, dès novembre 1818. Un autre ouvrage publié anonymement à Québec en 1831, Quebec and its environs ; being a picturesque guide to the stranger, lui est attribué d’abord par lady Aylmer dans « Recollections of Canada, 1831 » (ANQ Rapport, 1934–1935 : 283), puis dans A dictionary of books relating to America, from its discovery to the present time, Joseph Sabin, compil. (29 vol., New York, 1868–1936 ; réimpr., 29 vol. en 15, Amsterdam, 1961–1962), 3 : 200. L’ouvrage était assurément prêt dès 1829 et déposé chez les éditeurs. En rédigeant The picture of Quebec (Québec, 1829), George Bourne y puisa largement – le plagiant presque – pour son chapitre « Itinerary » (64–71).

Plusieurs gravures, séparées ou réunies en recueils, furent publiées à Londres d’après les dessins de Cockburn. Ce sont, chronologiquement : The siege of Copenhagen (1807), cinq aquatintes en couleurs ; Pictural plan of the grand expedition in the West Schelt, Augt 1809 ; shewing the difficulty of approach to Antwerp (1809), aquatinte en couleurs ; View of the Royal Artillery barracks et View of the Royal Military Academy (1816), deux aquatintes en couleurs (ces dernières furent probablement gravées d’après les dessins du carnet de croquis d’août 1815 dont seuls les deux feuillets centraux ont été prélevés) ; Views to illustrate the route of Mont Cenis, drawn from nature (1822), 50 planches ; Views to illustrate the route of the Simplon, drawn from nature (1822), 50 planches (l’exemplaire de ce dernier ouvrage conservé à la BL contient un texte manuscrit de 81 folios – description du voyage – intitulé « Simplon ». Devons-nous y deviner l’intention première de Cockburn d’en faire une publication semblable à Swiss scenery ? L’hypothèse n’est pas à écarter) ; Views in the valley of Aosta, drawn from nature (1823), 29 planches ; Quebec et The falls of Niagara (1833), deux ensembles qui comprennent chacun six aquatintes en couleurs (la série The fans of Niagara sera republiée en 1857). De plus, Montmorency waterfall & cone, near Quebec et Horse-shoe fall, Niagara, gravures en couleurs publiées en 1844 d’après des dessins de William Purser et de Thomas Allom, reprenaient des études sur le motif de Cockburn.

En outre, Cockburn collabora par ses dessins à diverses publications. La première, avec le graveur anglais William Bernard Cooke, s’intitule Delineations of the celebrated city of Pompeii (Londres, 1818). Le plan du recueil prévoyait deux volumes, en quatre parties, illustrés de 50 vues pittoresques. Il fut annoncé dès janvier 1818 dans Gentleman’s Magazine comme étant « presque prêt pour la publication ». Une comparaison entre l’exemplaire de la BL et la première partie de l’ouvrage conservée à la Bibliothèque nationale à Paris (Estampes, Vf. 219) laisse à penser qu’il y eut deux éditions : une première, probablement en 1818 ou 1819 ; une seconde, publiée en 1827 avec des ajouts de gravures, des variantes dans l’ordre des planches et dans le titre de l’ouvrage. Deux de ses dessins furent gravés pour l’ouvrage de George Newenham Wright, The Rhine, Italy, and Greece, in a series of drawings from nature [...] with historical and legendary descriptions (2 vol., Londres et Paris, [1841]).

Les principales collections d’œuvres canadiennes de Cockburn sont celles du Royal Ont. Museum à Toronto ; du Musée des beaux-arts du Canada et des APC, Division de l’iconographie, à Ottawa ; du musée McCord ; du Musée du Québec, du musée du séminaire de Québec et des ANQ-Q. Les œuvres européennes restent, pour la plupart, dispersées dans des collections particulières, mais mentionnons celles du British Museum (Londres), Dept of Prints and Drawings, du Norwich Castle Museum (Norwich, Angl.), et de la Royal Military Academy (Sandhurst, Angl.).  [d. p.]

APC, RG 8, I (C sér.), 747 : 122, 125–126a ; 748 : 1–109 ; RG 37, A2, 298, 339.— GRO (Londres), Registration of death index, nº 376, 27 mars 1847 (copie au Somerset Record Office (Taunton, Angl.).— MAC-CD, Fonds Morisset, 1, Montréal, île de Montréal, bibliothèque municipale et album Viger ; Québec, séminaire de Québec, archives, cartes et peintures.— PRO, PROB 11/2055 : 332 [392] ; WO 17/1526 : 158v° ; 17/1527 : 80v° ; 17/1530 : 105v° ; 17/1536 : 119vº ; 17/2561 ; 17/2582 ; 55/1225–1227, particulièrement 55/1227 : 179- 180 ; 76/360 : 60.— Catalogue of the fifth exhibition by the Norwich Society of Artists in oil & water colours [...] (Norwich, 1809).— Gentleman’s Magazine, 1809 : 763, 863–864 ; janv.–juin 1847 : 550–551.— Records of the Royal Military Academy, 1741–1892, H. D. Buchanan-Dunlop, édit. (2e éd., Woolwich [Londres, 1895]).— La Gazette de Québec, 19 juin 1823, 23 nov. 1829, 1er août 1832, 13 déc. 1833.— Norfolk Chronicle and Norwich Gazette (Norwich), 29 juill. 1809, 1er sept. 1860.— Norwich Mercury, 29 juill., 5, 12 août 1809.— Quebec Mercury, 8 avril 1828.— Jeremy Adamson, From ocean to ocean : nineteenth century water colour painting in Canada (Toronto, 1976), 5.— Allgemeines Lexikon der bildenden Künstler von der Antike bis zur Gegenwart [...], Hans Vollmer, édit. (37 vol., Leipzig, République démocratique allemande, 1907–1950), 7 : 146–147.— Mary Allodi, Canadian watercolours and drawings in the Royal Ontario Museum (2 vol., Toronto, 1974), 1, nos 270–463.— Almanach de Québec, 1823 : 198 ; 1827 : 205, 210 ; 1828 : 145, 150 ; 1829 : 159, 164 ; 1830 : 161, 166 ; 1831 : 183, 187 ; 1832 : 173, 177.— Battery records of the Royal Artillery, 1716–1859, M. E. S. Laws, compil. 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Bibliographie générale

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Didier Prioul, « COCKBURN, JAMES PATTISON », dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 7, Université Laval/University of Toronto, 2003– , consulté le 29 mars 2024, http://www.biographi.ca/fr/bio/cockburn_james_pattison_7F.html.

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Auteur de l'article:    Didier Prioul
Titre de l'article:    COCKBURN, JAMES PATTISON
Titre de la publication:    Dictionnaire biographique du Canada, vol. 7
Éditeur:    Université Laval/University of Toronto
Année de la publication:    1988
Année de la révision:    1988
Date de consultation:    29 mars 2024